Épisode Menteur, menteur S02E14 - Grey's Anatomy Saison 2

«  En tant que médecin on vous apprend à être sceptique parce que nos patients mentent sans arrêt, la règle c’est que tout les patients sont des menteurs jusqu’à preuve du contraire. Mentir c’est mal où c’est ce qu’on nous a dit sans arrêt depuis la naissance .» 

Meredith : Pourquoi tu te prépares pas pour les visites histoire de voler les meilleurs cas.

Christina : Pourquoi tu te prépares pas pour les visites histoire de voler les meilleurs cas.

Meredith : Sans raison.

Christina : Sans raison

 « Mentir c’est mal ou c’est ce qu’on nous a dit sans arrêt depuis la naissance, la sincérité c’est ce qu’il y a de mieux, la vérité t’apportera la liberté, George Washington a avoué avoir abattu le cerisier de son père, non. » 

Meredith : En fait, j’attend je Dr Mamour.

Christina : Et moi, j’évite Burke.

Meredith : Pourquoi t’évites Burke.

Christina :  Il croit que j’ai emménager avec lui, pourquoi est  ce que tu…….

Meredith : Le Dr Mamour dois me rendre un service, Burke croit que t’as emménager avec lui.

Christina : Tu l’appelle encore comme ça. « Le fait est que de mentir est une nécessité ». 

Meredith : Merci de faire ça, je parle d la prise de sang, elle ne l’aurai pas accepté sans les antécédents familiaux complets.

Derek : Je suis ravi d’inclure ta mère dans ses tests cliniques, malgré la prise de sang ; c’est fait…..comment ça va ? « On se ment à nous même parce que la vérité, la vérité fait très mal. » 

Meredith : Ca va bien…….. !  (dans le hall avec christina) Burke croit  que t’as emménager avec lui ça veut dire quoi.

Christina : Oh ! c’est sans importance et toi tu redonne à derek se surnom idiot

Meredith : C’est rien

Christina : Qu’est ce qui t’arrive.

Meredith : Et toi qu’est ce qui t’arrive ?

Christina : Arrête de répéter tout ce que je dis.

Meredith : Arrête de me poser des questions. George et Izzie frappent aux vitres de l’hôpital. 

George : Attila doit s’en aller

Izzie : Il a pisser sur mon lit, sur mon lit meredith.

Meredith : C’est notre chien.

George : Non, c’est pas mon chien, vous l’avez acheter toutes les 2 sans me demander mon avis.

Meredith : On a sauver cet animal d’une mort certaine, oh soyez gentil.

George : J’en démordrez pas, c’est sérieux ou ce chien part de chez nous ou c’est moi, ni dérobade, ni excuse, rien moi ou le chien lequel des 2….oh tu as hésiter, elle à hésiter.

Izzie : Tu as hésiter.

Meredith : Non, j’ai pas hésiter , j’ai réfléchi

George : Tu as besoin d’y réfléchir, parfais je déménage tout de suite ; plus tard, je déménagerai plus tard parce que là j’ai les visites.

Bailey : Dites moi que ce n’est pas un chien.

Merdith & alex : C’est pas un chien.

Ambulancier : Allez on y pas Rick  Friarque  29 ans 3 doigts sectionnés à la main gauche, hémorragie contrôler sur les lieux, constantes stable à reçu 5 mg de morphine en route.

Bailey : Vous avez les doigts.

Ambulancier : On avait du mal à les retrouver alors on a fichu le camp c’est l’ambulance qui suit qui les as, ils sont dans la glace, ils seront là dans 10 minutes.

Bailey :  Génial, on continue la perf et on attaque tout de suite les antibiotiques ; Yang attend dehors pour les doigts.

Rick : Vous allez pouvoir les recoudre, ils ont recousus le pénis d’un mec après que sa femme lui est coupé.

Bailey : Les pénis et les doigts sont comme les torchons et les serviettes

George : Qu’est ce qui s ‘est passé ?

Rick : J’étais en train de chargé mon matos dans le camion pour un concert, ils relevé la plate-forme du chargement.

Alex : Vous êtes musicien.

Rick : Je joue de la guitare, vous allez pouvoir les recoudre hein, c’est pas si compliquer parce que j’ai pas envie de quitter le groupe.

                                                             Générique

Derek : La coupe à l’air franche, c’est bien c’est un  sectionnement net et précis facilite la réimplantation, je ne vais pas vous mentir si la chirurgie est un succès votre guérison sera longue avec beaucoup de rééducation. Vous fumez ?

Rick : Pourquoi ?

Derek : La cigarette est un vasoconstricteur, j’ai vu d’excellentes greffes échouer pour quelques cigarettes.

Rick : Vous voulez dire si je fumes une cigarette après mon opération tout à coup boom, mes doigts vont tomber.

Christina : Non d’abord, ils deviennent noirs, ils se nécrosent et ensuite ils tombent.

Rick : Ah je vois je ne fument pas alors.

Christina :  C’est vrai parce qu’a en jugez par la trace de nicotine, vos doigts fument.

Autre patiente : Il y a quelqu’un ici ? eh oh

Debbie (infir) : Ne me regarder pas, on lui as mis une prothèse de hanche il y a 1 mois et elle as eu son autorisation de sortie la semaine dernière. George : Beh alors, pourquoi elle est encore ici.

Debbie : Parce que je ne suis pas un videur et qu’on n’est pas dans une vulgaire boite de nuit, je fais ce que je peux dans le service avec des ressources et du personnel des plus limités et si ça vous pose un problème je vous conseille d’aller en parler avec le chef.

Richard : Mme Larson doit s’en aller.

George : Si elle refuse de partir je fais quoi ?

Richard : Elle à 78 ans , elle ne peut pas se lever, vous êtes en position de force, servez vous en. Karev je peux vous parler une seconde, voici les résultats de votre examen.

Alex : Merci

Bailey :  Quoi

Izzie :  Tu ne l’ouvres pas

Alex:  Si je vais l’ouvrir

George entre dans la chambre de sa patiente qui chante

George:  Mme Larson, je suis le Dr O’malley

Mme Larson :  Oh un Irlandais bien sur, j’adore les Irlandais ils ont une petite étincelle au fond de leur regard et une fière démarche. Le regard est parfait, vous devriez travailler votre démarche.

George : Mme Larson

Mme Larson : Oh je vous en prie, Sophie ; soyez un ange et rapporter moi une télécommande, celle-ci à rendu l’âme.

George : Sophie, je ne peux pas vous la remplacer parce que vous n’êtes plus une patiente de cet hôpital, si j’en crois votre dossier une chambre vous attend dans la maison de repos Sugarmepple.

Sophie : Oh mais je resterai ici jusqu’à ce que ma fille est finit d’installer la chambre, elle transforme son petit salon en chambre à coucher elle a choisi de la faire en rose pastel, bon rapportez moi une télécommande l’Irlandais, je vais chanter jusqu’à ce que vous réapparaissiez. (Elle chante)

George : Je reviens tout de suite.

Alex : Yumi Miasaki 22 ans venue ce matin avec un hoquet persistant.

Izzie : On lui a donné 50 de chlorpromazine ce qui à arrêter le hoquet un moment ensuite il a recommencer, elle à besoin d’un avis chir. pour éliminer une perforation œsophagienne

Bailey :  Quand ce hoquet à commencer.

Coach : Il y a quelques jours elle ne parle pas votre langue.

Bailey : Vous êtes son petit ami.

Coach :  Son coach

Alex : Ah c’est une athlète.

Coach :  C’est une mangeuse de compétition  réputée

Izzie :  Manger c’est un sport

Alex : Miasaki, c’est comme une rock star au japon

Izzie :  Alors manger c’est un sport.

Alex :  Dîtes lui que je l’ai vu à la télévision, dites lui que moi aussi je suis un athlète je fais du catch

Coach : (le coach traduit à son élève). Le docteur fait de la lutte, je crois qu’il te drague.

Yumi : Dis lui que je mange des gamins comme lui au petit déjeuner.

Coach  s’adressant à Alex : Elle se demande  comment un catcheur est assez intelligent pour être médecin, la plupart des catcheur qu’elle connaît sont idiots.

Alex :  Dites lui qu’elle ne va pas dans les bons gymnases

Bailey: Vous devriez plutôt lui dire que se genre de hoquet persistant peut très bien être le symptôme d’un problème plus sérieux, on lui fait faire un oesophagogramme.

Coach: Elle a une compétition cet après midi au glouton de Seattle donnez lui une dose plus forte de ce médicament ; tout à l’heure ça à marchait.

Bailey: Est ce que le hoquet est revenu?

Coach : Oui

Bailey: Alors ça n’a pas marché

Izzie: Dr Bailey

Bailey: Calme toi! S’adressant à son bébé.

Izzie : Dr Bailey est ce que ça va.

Bailey : D’accord que quelqu’un bipe Addison Shepherd.

Addison : Le voila le rythme cardiaque est fort est comme il n’y a ni dilatation effacement du col on dirai de simple contraction de Braxtonixe.

Bailey : Si ce n’est que je connais bien ce ton légèrement inquiet, je l’utilise parfois avec mes patients moi aussi.

Addison : Quelquefois une fausse alerte est la manière trouve le corps pour dire de lever le pied.

Bailey : Je suis chirurgien.

Addison : Je comprends les réalités de votre métier, mais vous devez comprendre les réalités de votre grossesse et ralentir si je peux vous aider à quoi que ce soit.

Bailey : Oui, d’abord vous devriez m’aider à me lever de cette table.

Izzie : Dr Bailey, les gastros ont des questions sur le transit oesophagien de Melle Yumi Miasaki.

Bailey : D’accord, allons’y.

Addison:  Dr Stevens , garder un oeil sur elle aujourd’hui veillez à ce qu’elle n’est pas plus de 5 contractions douloureuses toutes les heures enfin tout ce qui indiquerait un travail prématuré…..le service ce n’est pas à moi que vous le rendez vous le savez.

Meredith: Naomi clines 43 ans on lui a change une valve tricuspide il y a 3 ans elle a une valve porcine.

Burke: Naomi, je suis surpris de vous voir revenir si tôt les valves de porc durent environ une quinzaine d’années, mais la votre semble s’être dégradé un peu trop vite et ça m’inquiète.

Naomi: Oh le cœur  vous savez ça va, ça vient, je me suis mariée, Dr Burke, je l’ai trouvé mon grand amour, mon homme, mon âme, oh c’est pas merveilleux, oh regarder cet homme magnifique, c’est fou ce qu’il est beau.

Mari de Naomi: Oui on s’est rencontré dans une épicerie.

Naomi : Oh chéri

Burke : Toute mes félicitations vous voir si heureuse et un plaisir.

Mari de Naomi : Alors expliquer nous ce qui ce passe avec la valve de Naomi.

Burke : Il y a forcement une cause pour que la valve soit détériorée mais on ne l’a pas encore diagnostiqué, des théories Grey.

Meredith : Rhumatismes articulaires, abus d’antimigraineux, où I.V de stupéfiants tout ça risques de détérioré la valve.

Naomi: Oh de la drogue ça jamais, c’est inutile j’ai Tom, c’est lui ma drogue, pas vrai mon cœur.

Meredith: Elle plane Dr Burke

Burke: Oh elle est heureuse, elle est amoureuse.

Meredith: Non personne n’est jamais aussi heureux, elle est droguée.

Burke : Fais une recherché de toxine mais Naomi n’a pas l’ai de mentir si elle dit qu’elle ne prend aucune drogue je la crois on développe un 6ème sens pour ce genre de choses.

Meredith: On ment tous, non
Burke: Dr Grey, c’est un chien.
Meredith: Non

Derek: Vous devez garder le bras relever; d’accord voila je viens voir dans un moment……..Yang t’as été top dure  tout à l’heure.
Christina:  Mais il mentait  et puis c’est tout  c’est vous qui dites que je suis dure.
Derek: Il est en état de choc, il vient de perdre ses doigts  et son droit de fumer dans la même journée ; on doit se montrer compatissant.Christina: Compatissant
Derek: Oui c’est une émotion, tu as entendu parler de ça.
Christina: Oh et vous elle refait à peine surface et vous la laisser encore vous appeler Dr Mamour, j’ai dis dit la vérité au patient c’est tout faites la même chose à l’occasion c’est pas si mal. 

Richard:  O‘ Malley.
George: Je récupère une télécommande pour Mme Larson.
Richard: Et votre position de force, elle est passée où?
George: Vous avez vu Mme Larson?
Richard:Comment croyez vous elle soit encore ici avec nous depuis si longtemps dans une chambre privée
George: Elle vous tient vous aussi alors.
Richard:Elle a chanté pour nos troupes vous savez.
George: On pourrait la garder à l’hôpital jusqu’à ce que sa fille est installée sa chambre.
Richard: Non, désolé, pas le service de chirurgie en tout cas.
George: Ah, d’accord mais dans un autre service on peut.
Richard: Je suis le chef je ne peux pas cautionner  un changement arbitraire de service, c’est clair O’malley.
Sophie: J’ai manqué mon émission l’Irlandais, je ne vois aucune télécommande dans votre jolie petite main.
George: J’ai noté que votre volume urinaire, c’était accrue entre hier et aujourd’hui, je vais vous conduire en gynécologie pour qu’on s ‘assure qu’il ne s’agisse pas d’un prolapsus utérin.
Sophie:Chérie, mon utérus n’est plus un problème depuis 30 ans.
George:  Je sais mais il peut en devenir un aujourd’hui. Vous voyez du genre à vous garder dans cet hôpital pour des analyses.
Sophie : Vous conduisez, je me laisse guiderIzzie : Ne déménage pas, George.
George :Oh si je pars, j’ai posé un ultimatum, j’ai lancé un défi, j’ai fixer mes limites.
Izzie : Et alors, t’as qu’a faire arrière, j’ sais pas, t’as qu’à reculer.
George : Un homme ne lance pas un ultimatum pour reculer, Meredith devait choisir et elle a choisi le chien.
Sophie : Quel horreur, une fille a préféré un chien à vous.
George: Oui.
Izzie: Non. 
Alex: Alors on le fait on y va.
Christina: Oui 
Izzie: Allons y.
George : Commencez pas sans moi.
Alex : On commence pas si Izzie n’est pas.
Christina : Izzie j’ t’en pris.
Izzie : On met quoi sur l’affichette.
George : J’en sais rien.
Christina :Donne chien agressif et destructeur.
George : Ca c’est pas gagné.
Christina: Alors, bon petit chien joueur et protecteur, chien chatouilleux et douillet.
Izzie: Bien.
Christina: Je sais
Meredith:  Salut George.
George: Ne me parle pas, ça va m’énerver, tu vas me gâcher ma performance, pourtant le suis sur le coup.
Meredith: D’accord qu’est ce que tu fais.
Izzie:  Je prépare une petite annonce.
Les garçons & Christina : Izzie, j’ t’en pris.
Izzie : Vous énerver pas ça va prêt.
Christina : On touche pas.
Izzie : Partez.
Meredith: C’est une annonce pour donner Doc, j’ai dis que je le ferais.
Izzie: Tu là dis mais tu ne le fera pas et je ne veux pas que George quitte la maison.
Meredtih: Mais écris au oins qu’il n’est pas encore propre, quoi c’est la vérité
Izzie: Bon tu veux que j’écrive la vérité, d’accord à donner bâtard  brutal et démoniaque qui pisse sur les plumards.
Meredtih: C’est aussi ton chien, on l’a pris ensemble.
Izzie : On l’a pris ensemble mais c’est  pas mon chien, c’est pas le tien non plus  d’ailleurs, il ne nous connaît pas on est pas assez à la maison pour qu’il puisse nous connaître.
Christina :  Ca y est j’ai fini.
George : Non.
Alex :  T’as triché.
George : T’as triché.
Izzie:  Oh non elle va gerber.
George: Sauve qui peut.

Secrétaire:  Le service de chirurgie est un étage poubelle pour des patients qui ne sont même pas chirurgicaux, on est complètement dépassé et exténuée, ce qui…
Richard: Encore les infirmières, vous ne pouvaient rien faire a ce sujet là, vous étiez infirmières vous aussi, vous ne savez pas parler aux infirmières.
Secrétaire: C’est pour ça que vous ne vous attirez pas leur respect, l’arrogance chirurgicale.
Richard : Je ne suis pas arrogant.
Secrétaire : Vous les tuer au travail, regarder ce tableau.
Richard : Quoi il est beau ce tableau.
Secrétaire : Il est plein comme un œuf, il faut plus d’infirmières. 

Bailey :  Mr Kamaji, voici très probablement la cause du hoquet une déchirure dans la paroi de l’œsophage.
Mr Kamaji:  Ca peut se soigner.
Bailey : Oui d’une façon chirurgical et au plus vite.
Mr Kamaji: Après le concours d’aujourd’hui, son agenda est vide jusqu’en mars.
Bailey: Non, c’est tout de suite qu’elle doit s’arrêter, elle ne concours pas aujourd’hui et si elle aime le goût  de la nourriture solide, je lui recommande et d’abandonner ce sport et passer à un loisirs  moins agressif  disons la boxe.
Mr Kamaji: Je vois …est ce qu’on peut avoir un peu d’intimité s’il vous plait.
Bailey: Karev, fait venir un interprète je veux m’assurer qu’elle sache toute la vérité. 
Christina: Vous pouvez éteindre ça.
Invités: Pardon.
Christina:  Je vais vous préparer pour l’intervention, vous pouvez dire à vos amis de partir.
Invités : On y va vieux.
Rick : J’avais pas l’intention de fumer, je les tenez vous savez c’est tout.
Christina :  D’ accord.
Rick : C’est sérieux, allez s’y, je les ….
Christina : Vous vous agrippez au paquet.
Rick : Je vous jure que j’allais pas fumez.
Christina : Je vous jure que je m’en fous faites ce que vous voulez.
Rick : Vous me croyez pas capable d’arrêter c’est ça
Christina : Non c’est vrai 
George : Oh non
Infirmière : Oh si
Sophie : Oh l’Irlandais, oh cette charmante femme médecin en gynécologie à dit que puisque j’avais subit une hystérectomie en 1974 je ne pouvais faire en aucun cas un prolapsus utérin.
George : Ah merde
Sophie : Je me sens un peu fiévreuse quand une femme de mon age à de la fièvre ça peu être le symptôme d’un grand nombre de maladies affreuses, non.

George : Ils ont pris votre température, il y a 1 heure et elle était normale je suis désolé, Sophie mais je vais devoir contacter votre fille.

Sophie: Je vous assure, que je me sens un peu chaude... je pense que ce doit être un chien exceptionnel.
George : Excusez-moi
Sophie : Avec ses yeux et ses mains si fermes et si belle si une fille préfère un chien à vous, c’est sûrement un chien exceptionnel.
 

Meredith : La recherché et le dosage de toxine de Mme Clines sont revenues négatifs, j’étais tellement sur d’avoir raison.

Burke : Il va falloir corriger ton regard sur le monde Grey, il y a gens qui ne mentent pas.
Meredith : C’est possible.
Burke : Quoique franchement, l’utilisation de stupéfiant aurait expliquer la détérioration de la valve.
Meredith : Alors comment on procede.
Burke : On programme Mme Clines en chirurgie.
Meredith : D’accord
Burke : Tu veux venir dîner.
Meredith: Quoi?
Burke: Dîner, à la maison, chez moi et Christina.
Meredith: Pourquoi?
Burke: Tu est sa meilleure ami, je veux qu’elle se sente libre d’inviter nos amis dans notre maison.
Meredith: Bon alors elle a emménager avec vous.
Burke: Oui, elle ne t’as rien dit.
Meredith: Oh si, bien sur que si, pourquoi me cacher un truc pareil ; ça y est elle a emménager je trouve ça génial
Burke : Oui 

Derek : Merci, je sors de la chambre de Mr  Friart, il est convaincu d’être incapable de fumer, il dit que tu est d’accord.
Christina : Mais il voulais mon opinion, vous voulez que je m’excuse.
Derek : Non je veux que tu lui dises que tu as eu tort, que tu as eu une mauvaise journée, que ton oncle adoré est mort d’un cancer aux poumons et qu’à la vue d’une cigarette tu paniques ; dit lui tout ce qu’il faudra, mais fait lui croire que ça vient de toi pas de lui, parce que s’il croit que ça vient de lui il n’arrêtera pas, dans ce cas inutile de faire l’intervention.
Christina : Parfait.
Derek : Quel est ton problème, je suis ton supérieur , qu’est ce qui se passe.
Christina : As cet instant vous n’êtes pas supérieur, on est dans un ascenseur, c’est votre spécialité les câlins Mamour dans l’ascenseur.
Derek : Dr Yang
Christina : Pendant un court instant on est ni le Dr Yang, ni le Dr Shepherd vous êtes celui qui à trahit mon amie, celui qui lui à fait acheter un chien dont elle doit se séparer, un chien qu’elle n’a prit parce que son mec lui à menti à propos de sa femme.
Derek : C’est faux, ce que tu racontes.
Christina : Je reconnais les menteurs, je suis une menteuse, vous voulez que je ment à un patient parfait, je mentirai. 

Alex: Yumi, eh l’interprete est là ou est la patiente Yumi Miasaki.
Infirmière: Elle est partie avec son ami, il y a 20 minutes environ.
Alex:  Elle n’était pas autorisée à sortir.
Infirmière:  Désolé, on a pas assez d’effectif, j’ai pensé que quelqu’un avait fait ses papiers.
Alex:  C’est pas vrai.

Rick : Allez vas y, c’est pas vrai.
Christina : Pourquoi vous n’êtez pas dans votre lit.
Rick : Je voulais une barre chocolatée.
Christina : Vous êtes sous morphine, on va vous opérer, vous ne devez rien manger, Mr Friart s’il vous plait.
Rick : C’ est mon père Mr Friart.
Christina : Bon.
Rick : Il porte uune moumoute, et il a une femme insupportable Kimberly.
Cristina : Rick, écoutez tout à l’heure j’ai dit n’importe quoi.
Rick: Non vous m’avez fait réfléchir, je veux pas être un gars dans un bar avec un affreux moignon, toujours en train de cloper dans une dizaine d’années en baratinant à tout le monde que je jouais mieux que Dave Navarro.
Christina:  Ouais vous ne voulez pas être ce type là.
Rick: Yà une chose, dernière cigarette, c’était ce matin, le truc  c’est que je ne savais pas que c’était la dernière.
Derek:  Je peux savoir ce que tu fais?.

Christina: Pouff.. ton don juan est un pauvre type, il veut que je reste au fond du bloc pendant qu’il réimplanter les doigts de Rick, je n’ai même pas le droit de toucher un écarteur je hais ce type.
Meredith : Soit franche, tu as emménager avec Burke oui ou non.
Christina : Je lui ai dit que j’emménager avec lui, mais je garde mon appartement. Quoi je couche chez Burke toutes les nuits, mes fringues sont chez lui, et j’ai encore mon appart, c’est pas un drame.
Meredith: Tu dois le lui dire.
Christina : Je regrette, non.
Meredith: Au fait, je suis censée venir dîner dans ton semblant d’appartement avec l’homme avec lequel tu fais semblant de vivre.
Christina: Oh , je ne veux pas t’avoir à dîner avec Burke, c’est bizarre.
Meredith: C’est là que je veux en venir arrête de mentir, Christina.
Christina:  Toi soit un peu honnête, la dernière fois que tu là appelé Dr Mamour, tu étais raide dingue de lui.
Meredith : On est seulement amis.
Christina : Hein Hein.
Meredith : C’ est vrai. 

Infirmier: Le virus de l’ouest du nil, vous plaisantez.
George: Non, regardez là elle est fièvreuse elle est faible de ce matin, elle peut décompensée.
Infirmier: Elle est là depuis un mois Dr O’ Malley, vous avez des moustiques ici récemment.
Sophie: Oh vous êtes un homme superbe, ses yeux chocolat.
Infirmier: Pour en savoir davantage Mme Larson, on va vous faire une ponction lombaire.
Sophie: C’est vous qui me la ferez.

Meredith: Oui, madame.
Naomi: Alors appelez moi Sophie, oh j’étais ravie de vous rencontrer l’Irlandais. 
Meredith: Tenez si vous signer ça on pourra continuer et organiser votre intervention.
Mr Clines: D’accord, vous savez que vous êtes une ravissante jeune femme, oh oui très jolie, vous pourrez sourire plus.
Meredith: Mr Clines.
Mr Clines: Oh je vous demanderai une faveur.
Meredith: Bien sur.
Mr Clines: Ne lui dites pas que vous m’avez vu, je ne suis pas sur de vouloir entrer, elle est quelquefois exténuante. 

Meredith: Faites une autre recherché de toxine sur Mme Clines.
Autre médecin: Sur l’ordre de qui.
Meredith:  Du Dr Burke bien sur. 

Izzie: Je suis désolé de vous déranger les ambulanciers sont en route avec Yumi Miasaki, elle s’est effondrée au glouton de Seattle et elle à vomi du sang.
Bailey: C’est une folle furieuse, maintenant son oesophage doit être complètement déchirée…oh
Izzie: Est ce que ça va.
Bailey: Complication oesophagienne énonce moi ça?
Izzie: Epanchement pleural, choc sceptique, c’est ça
Alex: Cyanosé avec respiration superficielle, on a une tension à 7.5/4, tatycardie à 130, on l’à mise sous oxygène à gros débit et seconde poche de sérum phi
Bailey: D’accord on la monte au bloc.
Izzie: Ils sont prêts, ils l’attendent.
Alex: C’est son coach, qui devrait être sur le brancard.

Bailey: On se concentre sur notre objectif, Karev sauver la vie de cette femme.

Alex:J e vous retrouve là haut.
Izzie:Moi aussi… Hey tu va  faire quoi l’étaler par terre.
Alex: Ouais.
Izzie: Alors tu va lui casser la gueule, te faire virer du programme avant d’avoir ouvert l’enveloppe de tes résultats comme si t’étais sur d’avoir échoué, t’es le roi des idiots.
Bailey: Dr Karev, comment je dois aborder cette myotomie de œsophage.
Alex: Il faut inciser en proximale de la déchirure pour mettre à plat la lésion de la paroi.
Bailey: Très bien  ensuite on fera le passage de lésion oh, oh.
Izzie: Dr Bailey, ce ne sont des contractions de Braxtonixe, je crois qu’il s’agit de travail prématuré, DR.
Richard: Pourquoi ne pas m’avoir appelé plus tôt, d’accord, sortez de ce bloc.
Bailey: J’allais essayer de colmater avec de la paroi gastrique.
Richard: Je vous ai appris cette procédure, alors sortez, clamp.

Burke: J’ai été bipé Dr Grey, Jeffrey voulez me donner les résultats d’examens sanguins  approfondis que j’avais demandé tu as imité ma signature.
Meredith : C’est vraiment nul, je sais.
Burke : Oui c’est vraiment nul, Naomi ne prend aucune drogues les résultats sont négatifs.
Meredith : Ah oui!.
Burke : Eh oui! Encore la prochaine fois  que imite ma signature préviens moi ça m’évitera 1 voyage.
Meredith : C’est tout , vous n’allez pas hurler, c’est pas vrai Grey et piquer une colère.
Burke : Si tu veux je peux le faire.
Meredith : Non!
Jeffrey:  Dr Burke, un autre résulta, son taux de sérotonine est au plafond.
Burke: Meredith, tu as les antecedents détaillés.
Meredith: Hum.
Burke: Depuis quand Mme Cline fait de l’asthme.
Meredith:  Ca remonte à la première intervention, pourquoi.
Burke: On a trouvé une tumeur carcinoïde du poumon, c’est très rare et Presque impossible à détecter, elle se cache derrière des symptômes apparemment sans lien, asthme de l’adulte, défaillance valvulaire.
Meredith: Et elle accroît énormément le taux de sérotonine.
Burke: Ce qui créer un faux semblant d’euphorie.
Naomi: Oh.
Mari de Naomi: Alors Naomi n’est donc pas heureuse à ce point, c’est du à sa tumeur !
Burke : Exactement.
Mari de Naomi: Quelle chance.

Naomi : Ah c’est pas croyable, vous et vos tumeurs, je suis dingue je suis infect é par l’amour.

Meredith : Je suis désolé, votre corps ment à votre esprit.
Naomi : Alors laissez le continuer n’est ce pas mon ange.
Mari de Naomi : Vous allez la traiter bientôt.
Burke : Demain on retira la tumeur et si tout va bien, son humeur reviendra à la normale.
Mari de Naomi : Génial je vous remercie.
Meredith: Merci, de ne pas m’avoir incendier pour avoir imiter votre signature.
Burke : Merci, je sais que c’est toi qui a du convaincre Christina, elle est très forte mais elle t’écoute…..si tu lui a dit d’emménager…enfin merci.
Meredith: Pas de problème. 

Derek : Avez vous encore une sensation dans votre bras gauche.
Rick : Non, Dr je peux regarder…je veux voir chaque vaisseau sanguine, chaque nerf que je vais abîmer si jamais je fume à nouveau, c’est pas que je vais le faire, c’est fini, j’ai fumer ma dernière cigarette.
Derek : D’accord (en regardant Christina) on va commencer. 

Fille de Sophie : La maison de retraite dit qu’elle n’est jamais venue, comment est ce qu’une telle chose est possible.
Debbie (infir) : Elle a refuser de s’en aller.
Fille de Sophie : Ma mère est vieille, et infirme, vous n’avez pas réussi à la faire partir.
Debbie : Avez vous rencontrer votre mère.
Fille de Sophie : Parfait où est-elle ?.
George : Oh enchanté, je suis le Dr O’ Malley elle est en infectiologie en ce moment.
Fille de Sophie : En infectiologie, et depuis quand elle souffre t’elle d’une maladie infectieuse.
George : Heu elle n’a rien, elle refuse simplement de partir.
Fille de Sophie : Oh elle est pas croyable.
George : Ouais, c’est vrai, alors sa chambre est prête, dans ce cas je vais la chercher.
Fille de Sophie : Oui mais elle est prête depuis des semaines.
George : Non pas au Sugameapple, je parle de chez vous.
Fille de Sophie : Pardon.
George : La chambre rose que vous lui avez installé chez vous.    Bonjour Sophie.
Sophie : Oh c’est mon  Irlandais, qui a une magnifique surprise, vous ne risquez pas d’attraper ma maladie.
George : Non, je crois que je vais passer au travers, Sophie votre fille vient d’arriver.
Sophie : Ce genre de maison, c’est pour des gens qui sont vieux, je sais que je suis âgée, je le sais bien, mais si je dois aller dans cette maison de retraite, ça m’angoisse, j’ai peur de devenir vieille.
George : Je doute que se soit possible, vous savez que si je pouvais je vous garderai ici.Sophie : Oh non chéri ne perdez plus votre temps avec moi, vous devez vous battre contre ce chien tout de suite.
George : Excusez-moi!.

Sophie : Elle a oser choisir un animal à votre place, alors quoi les folles sont, il y a longtemps que ça dure, mais la vie est trop courte pour  courte pour laisser tomber l’Irlandais….Alors foncer, battez vous pour ce qui vous appartient….Alors ça mon avis, c’est une sacrée démarche.

Richard: Je referme la cavité péritonéale avec  un fil de suture chronique.

 Une infirmière frappe au bloc pour avertir le chef. 

Alex : Chef.
Richard : On continue tire sur cet écarteur……Aspiration, on éponge Aspiration…..Qu’est ce qui se passe.
Infirmière : J’ai essayer, mais vous n’avez pas écoutez il est 6h07 la deuxième garde d’infirmière doit commencer à 6h00 mais elle ne viendront pas.
Richard : Vous avez 1 idée de ce que leur absence va coûter à l’hôpital.
Infirmière : J’ai déjà convoquer des intérimaires.
Richard : Qu’est ce que c’est.
Infirmière : Une notification officielle, on se met en grève dans 10 jours.

Alex : C’est parfait Yumi, ça va aller.
Yumi : Elle parle dans sa langue.
Izzie : On devrait aller chercher l’interprète pour qu’il lui dit ce qui se passe ; on revient Yumi.
Alex : Qu’est ce que vous faites ici ?.
Le coach : J’aurais jamais du, je croyais que ça se passerai bien je suis désolé ; C’est à Yumi qu’il faut le dire ; dites lui que sa carrière est foutue à cause de vous. Le coach s’excuse auprès de Yumi.
Izzie :  C’est mieux que de lui casser la figure.
Alex : Izzie, tu peux.
Izzie : Tu me demande de l’ouvrir pour toi ?
Alex : Ouais vas ’y, c’est trop dur.
Izzie : Non, écoute je suis désolé.
Alex : Tu m’as déjà dit que j’étais un idiot, ce sera pas un grand choc.
Izzie : Félicitations, tu n’est pas idiot sauf quand tu fais l’idiot. 

Christina : Bien.
Derek : Comment va t’il ?.
Christina : Il a envie d’une cigarette mais je crois que ça va lui passer d’ici la fin de la journée.
Derek: Bien, j’ai été gentille avec elle.
Christina: D’accord.
Derek: Et je peux être gentil sans être….
Christina: Le Dr Mamour je sais.
Derek: J’ t’ assure.
Christina: D’accord.

Derek: Alors ça va.

Addison: Repos au lit chez vous jusqu’à la naissance du bébé, vous savez ce que ça signifie repos au lit Miranda.
Bailey: Ouais, l’horreur.
Izzie: L’horreur avec la télé et les bouquins c’est de notre part à tous.
Bailey: Même si je reste enceinte 47 mois m’éffiez vous, il se peut que je reste coucher, il se peut que je ne puisse pas voir mes doigts de pieds mais je suis quand même le Dr Bailey et j’entend tout, je sais tout et bien sur je veille chacun  d’entre vous et je vais revenir. 

Derek: La grève.
Burke: La grève.
Richard:  Vous n’êtes qu’une bande de chirurgien arrogant.

Christina: Tu est là.
Meredith: Ouais, c’était Izzie elle refuse de ramener le chien à la maison.
Christina: Hum, hum bon si tu veux que je dise à Burke que j’ai pas emménager je lui dirai.
Meredith: Non, non.
Christina: Quoi?
Meredith: Ne lui dit rien en tout cas pas tout de suite, pas ce soir, tu n’a qu’a attendre, ça peut attendre….je t’ai menti, pour Derek on est pas que des amis, enfin en ce qui me concerne, c’est toujours mon Dr Mamour.
Christina : Je sais. 
George : Je sais que tu traverse une très mauvaise passe, je sais que Shepherd te manques et je sais que ta vie n’est pas vraiment plaisante ces temps-ci, c’est déjà admirable que tu tienne le coup tu as le droit de te montrer un peu égoïste mais tu n’a pas le droit  de choisir entre 1 chien et moi…je suis George je dors à 2 pas de ta chambre, je vais acheter tes tampons, je suis là à te tenir ta main chaque fois que tu le demande, alors j’ai gagné le droit d’être vu d’être respecter, le droit que tu penses à moi, autrement qu’à 1 chien que tu as ramasser dans une fourrière…..alors je ne déménagerai pas que ça te plaise ou non je vais rester. 

 « Peut importe à quel point on essaie de l’ignorer, ou de le renier au bout du compte le mensonge s’installe » 

Burke : Je suis heureux que tu vives ici.
Christina : Oui moi aussi.

 « Qu’on le veuille ou non » 

Meredith :  Allez Doc on y va.
Derek : Salut Doc, salut mon vieux, bienvenue à la maison.
Addison : Ah il est magnifique.
Izzie :  J’ai apporté ses jouets.
George : Et voilà ses gamelles.
Meredith : Voilà, je sais que c’est beaucoup demander.
Addison: Ah ce n’est rien, ce n’est qu’un chien, allez suit moi Doc.
Izzie: Heu, on va attendre près de la voiture.
Meredith: D’accord, bon il mange tout ce qu’il trouve, donc évite de laisser des trucs, il déteste les chats, et les petits chiens qui aboient sans arrêt, oh il n’est pas propre.

Derek: Oh !.

Meredith: J’aurai du te dire ça.
Derek: Oui.
Meredith: T’est pas obligé de faire ça.
Derek: Tu sais, j’ai tout ce terrain, ce serai du gâchis.
Meredith: Derek.
Derek : Ce n’est qu’un chien, ça ne veut rien dire, il sera bien ici.
Meredith : Oui….d’accord bonne nuit.
Derek : Bonne nuit.

 «  Mais la vérité sur la vérité, c’est que ça fait mal, alors on ment » 

[INT. SGH]

(Opens with Dr. Shepard in the O.R performing surgery on a patient. The camera pans up to show an empty gallery aside from Meredith who is standing by herself)

Meredith Voice Over (MVO): As doctors we’re trained to skeptical because our patients lie to us all the time. The rule is every patient is a liar until proven honest.

(Cristina enters the gallery and gives Meredith a wry smile and Meredith smiles back. Cristina walks up to the window to peer and looks down into the surgery)

MEREDITH: Why aren’t you prepping for rounds and stealing all the good cases?

CRISTINA: Well why aren’t you prepping for rounds and stealing all the good cases?

MEREDITH (shrugs): No reason.

CRISTINA: No reason?

MVO: Lying is bad or so we’re told constantly. From birth honesty is the best policy.

(Cristina sits down next to Meredith)

MVO: The truth shall set you free. I chop down the cherry tree. Whatever.

MEREDITH: I’m waiting for Mc Dreamy.

CRISTINA: I’m avoiding Burke.

MEREDITH: Why are you avoiding Burke?

CRISTINA: He thinks I moved in with him. Why are you waiting-

MEREDITH (interrupts): Mc Dreamy is doing me a favor. Burke thinks you moved in with him?

CRISTINA: Wait you’re calling him Mc Dreamy again?

(Cristina shakes her head at Meredith)

MVO: The fact is lying is a necessity.

(Cut to an empty trauma room where Meredith is sitting on a table as Derek draws out her blood)

MEREDITH: Thank you for doing this. With the needles and the blood. They won’t accept her without a full family history.

DR. SHEPARD: I’m happy to get your mom into the clinical trial. Even with the needles and blood.

(He stands up and they ‘gaze’ into each others eyes)

DR. SHEPARD: All done. How does that feel?

MVO: We lie to ourselves because the truth, the truth friggin’ hurts.

MEREDITH: Feels good.

(Cut to Cristina standing in a hallway waiting for Meredith. Meredith walks up to her and they start walking down the hall together)

MEREDITH: Burke thinks you moved in with him? What does that mean?

CRISTNA: Okay it’s not important. You’re calling Derek, Mc Dreamy again.

MEREDITH: It’s nothing.

CRISTINA: What are you doing?

MEREDITH: What are you doing?

CRISTINA: Stop repeating what I say.

MEREDITH: Stop asking me questions.

(They stop and look out over the railing of the mezzanine and hear some banging. The camera pans down to show George banging on a window of the hospital with Izzie standing next to him, arms crossed holding a leash with Doc on it.)

GEORGE (yells): Cujo has to go!

(Cut to Intern locker room where the foursome are getting for rounds. Meredith is sitting down on a bench, already in her scrubs with Doc laying next to her)

IZZIE: He peed on my bed. My bed, Meredith!

MEREDITH (defensive): He’s our dog!

GEORGE: No, he’s not my dog. You two bought him, without even asking me.

MEREDITH: We rescued him from certain death. (she pouts) Come on you guys.

GEORGE: I’m putting my foot down. Either the dog moves out or I do. Foot. Down. Now. Me or the dog, which is it?

(Meredith looks down at Doc contemplating and then back up at George)

GEORGE (shocked): You hesitated! She hesitated!

IZZIE: You hesitated?!?

MEREDITH: I didn’t hesitate. I was thinking.

GEORGE: You have to think about it, fine! I’m moving out right now.

(He heads to the door to exit the room but as he opens the door, Bailey is revealed standing there. He swivels back towards his locker)

GEORGE: Later. I’m moving out later because right now I have rounds.

(Bailey walks into the room)

DR. BAILEY: Tell me that is not a dog.

CRISTINA & ALEX: It’s not a dog.

(Bailey’s pager goes off)

(Cut to Bailey standing outside the emergency double doors with Cristina, George, Meredith, Alex, and Izzie. An ambulance double doors open up and paramedics start wheeling out a patient, including Tony the paramedic)

TONY: Rick Friart. 29. Severed 3 fingers on his left hand. Controlled the bleeding in field. Vitals stable. Gave him 5 of morphine on the way in.

(They all start wheeling the patient down the hallway)

DR. BAILEY: The fingers?

TONY: Had some trouble retrieving them so we took off. Rich behind us found them. They’re iced and ready to go. 10 minutes out.

DR. BAILEY: Continue with IV fluids and start a course of antibiotics.

(Bailey stops Cristina)

DR. BAILEY: Yang, wait outside for the fingers.

(Cristina heads back out)

(Cut to the trauma room where Rick is. Bailey and everybody else is there as well)

RICK: You can sew them back on right? Coz they sewed that guy’s penis back on after his wife chopped it off, right?

DR. BAILEY: Penises and fingers. Like apples and oranges.

GEORGE: How did it happen?

RICK: I was loading my gear onto my truck for a gig and my hand got caught in the lift gate.

ALEX: You’re a musician?

RICK: I play the friggin guitar. (to Bailey) You can sew them back on right? It’s not that big of a deal right? Oh dude I better not be out of the band.

(Cut to the trauma room, where now there are only scrub nurses and Dr. Shepard checking on Rick’s fingers. Cristina enters the room with Rick’s detached fingers in a towel)

DR. SHEPARD: Well the cuts look clean. That’s good. It certainly makes reattachment easier. I’m not going to lie to you, if the surgery is successful; we’re looking at a long recovery. Lots of physical therapy. (Rick looks pained at this) You smoke?

RICK: Why?

DR. SHEPARD: Cigarette smoke constricts the blood vessels. I’ve seen really good grafts fail over a few cigarettes.

RICK: So what are you saying? I, I smoke a cigarette after my operation and boom my fingers fall off?

CRISTINA: No first they turn black and necrotic and then they fall off.

(Dr. Shepard smiles apologetically at Rick)

RICK: Well I don’t smoke, so …

CRISTINA (holding up one detached finger): Really? Cause judging by the nicotine stains, your fingers do.

(Rick looks alarmed at the idea of having to give up smoking)

(Cut to George rifling through some charts at the nurses station when he hears a voice call out from a patient room)

SOPHIE: Anybody out there? Hello!

(George shoots a glance to Nurse Debbie who is also at the desk)

DEBBIE: Don’t look at me! She had hip replacement surgery a month ago and was discharged last week.

GEORGE: Then why is she still here?

DEBBIE: Because I am not a bouncer and this is not a nightclub! I am doing what I can (Richard walks up and Debbie walks directly to him) with extremely limited staff and resources and if you have a problem with that take it up with ‘Chief!’

(She storms off. You can hear Sophie sing now)

SOPHIE: Don’t know why, there’s no sun up in the sky …

(Richard shoots George a look)

RICHARD: Mrs. Larson is got to go.

GEORGE: If she refuses to leave what can I do?

RICHARD: She’s 78 and non-ambulatory. You have the upper hand here. Use it.

(Bailey, Izzie and Alex walk up to them)

RICHARD: Karev, can I talk to you for a second?

(He and Alex walk off to the side and he hands him an envelope)

RICHARD: The results of your medical board exam.

ALEX: Thanks.

(Richard walks off as Izzie looks on curiously. George dumps a bunch of charts into Izzie’s arms and heads off. Bailey looks on disapprovingly. Alex walks back up to Bailey and Izzie)

IZZIE: Aren’t you going to open it?

ALEX: Yeah, I’ll open it.

(Cut to George, entering Sophie Larson’s room. An elderly yet very vibrant and energetic woman)

SOPHIE (sings): I’m weary, all the time.

(George claps loudly)

SOPHIE: Oh, thank you. Thank you.

GEORGE: Okay, Mrs. Larson I’m Dr. O’Malley.

SOPHIE: Oh an Irishman! I love the Irish. They have a sparkle. You can see it in the eye and the swagger. Come on Dr. O’Malley, show me the swagger.

(George looks slightly uncomfortable but swaggers half-heartedly up to Sophie’s bedside)

SOPHIE: The eyes are right, but uh you’ll have to work on the swagger.

GEORGE: Mrs. Larson.

SOPHIE: Call me Sophie. Now be a doll and bring me a remote. (She holds up and shakes it in front of him) This one’s busted.

GEORGE: Sophie, I can’t bring you a new remote because you are no longer a patient at this hospital. Now according to your chart you have a room waiting for you at the Sugar Maple Nursing Home.

SOPHIE: I’m staying until my daughter’s house is ready. She’s converting her Den into my bedroom. She’s doing it a shade of pink. Now bring me a remote Irish. I’m going to sing until you get back. (she starts singing loudly) Can’t go on. Everything thing I have is gone! (George holds out is hand and she slaps a remote into it) Stormy weather-

GEORGE: Coming right up.

(He leaves)

(Cut to a trauma room where a young Asian woman named Yumi sits on a bed continuously hiccupping. Yumi’s Coach, Mr. Kamaji is also in the room)

ALEX: Ah Yumi Miyazaki. 22. She presented this morning with persistent hiccups.

IZZIE: She was given 50 clopromazine which stopped them for a while but then the hiccups returned so she needs a surgical consult to rule out esophageal perforation.

DR. BAILEY: When did your hiccups start?

MR. KAMAJI: A few days ago. She doesn’t speak English.

DR. BAILEY: Are you her boyfriend?

MR. KAMAJI: Her coach.

ALEX: Oh she’s an athlete.

MR. KAMAJI: Ah, Yumi is a competitive eater.

IZZIE: Eating is a sport?

ALEX (nods): Miyazaki … yeah, yeah. She’s like a Rock star in Japan.

IZZIE: Again, eating is a sport?

ALEX (to Mr. Kamaji): Tell her I saw her on TV. Tell her that I’m an athlete too. I’m a wrestler.

MR. KAMAJI (in Japanese to Yumi): The young doctor wants you to know he’s a wrestler. I think he’s flirting with you.

(Yumi gives Alex an appraising look)

YUMI (in Japanese to Kamaji): Tell him I eat little boys like him for breakfast.

MR. KAMAJI (to Alex): She wonders how a wrestler got smart enough to be a doctor. Most wrestlers she knows are dumb.

(Alex and Izzie smile. Izzie more of a oh my god smile)

ALEX: Just tell her that she hasn’t been hanging around the right gyms.

DR. BAILEY: How bout you tell her that persistent hiccup could be an indication of something much more serious. (to Alex and Izzie) Schedule an esophogram.

MR. KAMAJI: Oh she’s competing this afternoon at the ‘Taste of Seattle’. Can’t you just give her a stronger dose of that drug? It seemed to work.

DR. BAILEY: Did the hiccups come back?

MR. KAMAJI: Yes.

DR. BAILEY: Then it didn’t work.

(She moves and starts to walk off, but stops suddenly clutching her stomach in pain)

IZZIE: Dr. Bailey.

DR. BAILEY: Be quiet.

IZZIE: Dr. Bailey, are you okay?

(Bailey tries to shrug it off, but she still seems to be in pain)

DR. BAILEY: Alright somebody page Addison Shepard.

(Izzie moves off quickly while Alex stays with Bailey)

(Cut to Bailey lying down being given an ultrasound by Addison in an exam room)

ADDISON: There he is. Heartbeat’s strong. Since there’s no dilation or avasement, looks like nothing more than Braxton Hicks.

(Bailey sits up)

DR. BAILEY: Except I know the mild concerned tone. I’ve used it myself from time to time.

ADDISON: Sometimes false labor is the body’s way of telling you to slow down.

DR. BAILEY: I’m a surgeon.

ADDISON: I understand the realities of your job but you need to understand the realities of your pregnancy and take it easy. Is there anything I can do to help?

DR. BAILEY: Uh, yeah for starters you can help me get up off this table.

(Izzie knocks on the door and enters)

IZZIE: Dr. Bailey. The GI lab has a couple of questions about Miss. Miyazaki’s esophogram.

DR. BAILEY: Well let’s go.

(Bailey walks out of the room)

ADDISON: Dr. Stevens.

(Izzie stops following Bailey)

ADDISON: Keep an eye on her today. Watch out for any painful contractions. More than 5 in an hour. Anything that could indicate pre-term labor. (Izzie shakes her head) The favor is not for me Stevens, you know that.

(Izzie nods and walks off)

(Cut to a patient room where a middle aged woman named Naomi Cline lies on the bed looking very happy. Meredith and Burke are at the end of Naomi’s bed. Tom Cline, Naomi’s husband is also in the room)

MEREDITH: Naomi Cline. 43. Had her tricuspid valve replaced 3 years ago with a porcine valve, sir.

DR. BURKE: Ah Naomi, surprised to see you back again so soon. Pig valve usually holds up 10 to 15 years. But yours seems to be degenerating a little too quickly for my comfort.

NAOMI: Oh, heart valve, shmart valve. (excited) I got married Dr. Burke! (she laughs) I found him. My true love. My ‘you jump, I jump’. (Burke and Meredith exchange looks. She holds out her hand to show her wedding ring) Look. Isn’t it beautiful? And look, look at that beautiful, beautiful man.

(Meredith and Burke turn around to see a middle aged balding man named Tom Cline. Not exactly Wentworth Miller, But hey to each his own)

TOM (uncomfortable): Heh. We ah meet in the grocery store.

NAOMI: Oh honey …

(She gestures for him to come be by her bedside)

DR. BURKE: Oh, congratulations. It’s good to see you so happy Naomi.

NAOMI: Yeah.

(Tom comes by her bedside and Naomi becomes very affectionate)

TOM: So Naomi’s heart valve, what does this mean?

DR. BURKE: Well there’s an underlying cause for your wife’s valve failure that remains undiagnosed. Theories Grey?

MEREDITH: Rheumatic fever, chronic use of migraine meds- (A large bark from Doc in the hallway interrupts her) or IV narcotics could all cause all valve disease sir.

NAOMI (smiling): Oh I don’t use drugs. Don’t need them. I’ve got Tom, he’s my drug. Aren’t you baby?

(Meredith looks weirded out by Naomi’s happiness)

(Cut to Meredith and Burke walking out of Naomi’s patient room walking down the hall)

MEREDITH: She’s high Dr. Burke.

DR. BURKE (chuckles): Oh, she’s in love. She’s happy.

MEREDITH: Nobody is that happy. She’s on drugs.

DR. BURKE (sighs): Run a tox screen but Naomi doesn’t strike me as a liar. If she says no drugs, then it’s no drugs. You develop a sixth sense about these things.

MEREDITH (shrugs): Everybody is a liar.

(Doc barks loudly again from the hallway)

DR. BURKE: Dr. Grey, is that a dog?

MEREDITH (shakes her head): No.

(Cut to Dr. Shepard with Rick in the trauma room.)

DR. SHEPARD: I want you to keep this elevated okay?

RICK: Okay.

DR. SHEPARD: I’ll be back to check on you in a little bit.

(Dr. Shepard heads out of the room into the hallway where Cristina is dumping some waste into a waste bin. They start walking down the hall together)

DR. SHEPARD: Yang, you were a little harsh in there.

CRISTINA: He was lying. Besides your harsh is another man’s refreshing.

DR. SHEPARD: Well he’s in shock. The man’s lost his fingers and his only remaining habit in one day. We need to be compassionate.

CRISTINA (looks upset): Compassionate?

DR. SHEPARD: Yeah. It’s an emotion. Have you ever heard of it?

CRISTINA: Oh, have you? (Dr. Shepard looks shocked at Cristina’s audacity) She’s barely back on her feet and you’ve got her calling you Mc Dreamy again. You know I was just telling the patient the truth. So you might want to try it sometime.

(Cristina walks off)

(Cut to George standing on some shelves rummaging around a utilities room. Richard walks by but double backs when he realizes what George is doing)

GEORGE: Remotes. (He pulls out a stack from a box) More remotes.

RICHARD: O’Malley?

GEORGE: I’m getting a remote for Mrs. Larson.

RICHARD: What happened to the upper hand?

GEORGE: Have you met Mrs. Larson sir?

RICHARD: Why do you think she’s been here this long? In a private room?

GEORGE (amused): She handled you too?

RICHARD: Well she sang for the troops you know.

GEORGE: Can’t we just keep here until her the room in her daughter’s house is ready?

RICHARD: No we can’t. Not on surgical service anyway.

GEORGE: Oh, okay … but some other service?

RICHARD: I’m the Chief, O’Malley. I can’t condone turfing patients onto other services’. You hear me O’Malley?

(Richard walks off)

(Cut to George entering Mrs. Larson’s room smiling)

SOPHIE: I’m ah, I’m missing my program Irish and I don’t see a remote in that hot little hand.

GEORGE: I noticed that urine output has increased slightly since yesterday. I’m going to have to take you to gynecology to make sure you don’t have a prolapsed uterus.

SOPHIE: Honey my uterus hasn’t been an issue for 30 years.

GEORGE: I know, but it might be an issue now. … You know one that could keep you here in the hospital for tests.

(Sophie grins broadly and grabs the metal triangle in front of her for grip)

SOPHIE: You drive, I’ll ride shotgun.

(Izzie comes to the door as George prepares to move Mrs. Larson’s bed)

IZZIE: You’re not moving out, George.

GEORGE: Oh yes, I am. I gave an ultimatum. Threw dawn the gauntlet. I drew my line in the sand.

IZZIE: Well un-give, un-grow and un-draw.

GEORGE: A man does not give an ultimatum and then back down.

(Izzie helps George move the bed out of the room and down the hallway)

GEORGE: Meredith had a choice and she chose the dog.

SOPHIE (shocked): A girl chose a dog over you?

GEORGE: Yes.

IZZIE: No.

(Izzie and George stare at each other)

(Cut to the hospital outdoor cafeteria. Alex is sitting at a table by himself looking over the envelope Richard gave him. There is also an unusually big pile of hotdogs sitting in front of him. He puts it away quickly as Cristina and Izzie come up and sit down at the table as well. Cristina also has a large plate of hotdogs)

ALEX: Are we gonna do this or what?

CRISTINA: Yeah, let’s go.

(George comes up running with his own plate of hotdogs)

GEORGE: Don’t start without me.

ALEX: We’re not gonna start if Izzie doesn’t focus.

CRISTINA: Izzie, come on.

IZZIE (ignores this): What should I put on the flier?

GEORGE: I don’t know.

CRISITNA: Destructive, aggressive, uh hell dog available.

GEORGE: That’s not helping.

CRISTINA: Fine, uh playful, protective puppy needs a home.

IZZIE (approvingly): Good.

(Meredith comes with her own set of food and Doc on a leash. She sits down)

MEREDITH: Hey George.

GEORGE (looking down at his food): Don’t talk to me! You’ll only make me mad. You’re gonna mess up my game and I’m in the zone.

MEREDITH: Okay. (to Izzie): What are you doing?

IZZIE: Oh it’s a flier that I’m-

CRISTINA (yells): Izzie, come on!

GEORGE (yells at the same time): Izzie!

IZZIE: Okay! Keep your panties on!

(Izzie picks up a stop watch as George, Alex and Cristina all prepare to have a hot-dog eating contest)

IZZIE: Alright.

(George picks up one of his hotdogs)

CRISTINA: No touching!

(George puts down his hotdog making a face at Cristina)

IZZIE (struggling not to laugh): Go!

(George, Alex and Cristina start wolfing down their hotdogs. Though Cristina opts for eating the actual hotdog meat first quickly, rather than bun and dog like Alex and George)

MEREDITH (looks at the flier): You’re advertising for a home for Doc? I said I would do it.

IZZIE: And you haven’t and you won’t. And I don’t want George to leave.

(She makes a funny face when she looks at George’s eating)

MEREDITH: Well at least put down he’s not house-broken. (Izzie gives her a look) What? It’s the truth.

IZZIE: Okay, so you want me to put the truth. Fine.

(Cristina has now finished her hot dog meat and only left with the buns with she is now wetting down with water, mushing up and then stuffing into her mouth)

IZZIE: Vicious, hyper-double mutt is available. And will pee on the bed.

MEREDITH: He’s your dog too. We got him together.

(She gives the others a weird look at their eating contest. It seems Cristina is winning, Alex followed closely behind, and George is pretty much screwed)

IZZIE: We got him together, please. He’s not your dog either. He doesn’t even know us. We are not home enough for him to know us.

(Cristina stuffs the last of it down her mouth and shouts victorious. Though it’s very muffled and hard to understand since she still has a mouth full of bread. Alex and George also protest muffled as she hasn’t chewed it all down. Cristina stands up and starts gloating and making hand gestures)

CRISTINA: You want to be! You want to be me but you can’t be me! You want to be me-

(She stops abruptly and looks like she’s gonna chuck)

GEORGE: Uh, oh.

(She sits back down woozy)

IZZIE: Crap, she’s gonna blow.

(They all stand up quickly and run off, leaving Cristina sitting by herself trying not to throw up)

(Cut to Patricia and Richard walking down a hallway together. Patricia is reading from some papers)

PATRICA: The surgical floor has become a dumping ground for patients who aren’t even surgical. We are overworked and exhausted. This makes for un-

RICHARD (interrupts): The nurses again? Can’t you do something about this? You used to be one of them. Don’t you speak nurse?

(Richard stops in front of the O.R board)

PATRICIA: That’s why you don’t get any respect from the nurses; surgical arrogance.

RICHARD (huffs): I’m not arrogant.

PATRICIA: You’re killing them with that workload. Look at the board!

(The board is absolutely filled)

RICHARD: What? That’s a beautiful board.

PATRICIA: That’s a crowded board. (She hands Richard the paper she was reading from) We need more nurses.

(She walks off)

(Cut to an exam room, where Yumi is lying down on a table undergoing an ultrasound. Izzie, Bailey, Alex and Mr. Kamaji are in there. Yumi is still hiccupping)

DR. BAILEY: Mr. Kamaji, this is probably what’s causing her hiccups. (Izzie points to a screen) A tear in the lining of her esophagus.

MR. KAMAJI: Can you fix it?

DR. BAILEY: Yes, surgically the sooner, the better.

MR. KAMAJI: Ah, after the competition today her schedule is clear until March.

DR. BAILEY: No her schedule is clear now. She can’t compete today. And if she enjoys the taste of solid food, I recommend giving up the sport for something a little less aggressive. Say boxing.

(Yumi just lies on the table looking scared and at Mr. Kamaji to tell her what’s going on)
MR. KAMAJI: I see. Could you give us some privacy please?

(The three doctors all exchange looks and leave the room)

DR. BAILEY: Karev, get the translator up here. Lets make sure she’s getting the whole truth.

(Cut to a patient room where Rick is. Cristina comes in and finds Rick’s band mates and friends in the room, smoking and drinking)

CRISTINA: Put that out!

BAND MATE: Sorry.

CRISTINA: I gotta prep you for surgery. Can you ask your friends to leave?

(The band mates hug Richard and leave. Cristina starts prepping Richard and notices a carton of cigarette’s on his lap. Richard notices this and holds up the packet defensively)
RICK: I wasn’t gonna light ‘em. I was just holding them.

CRISTINA: Okay.

RICK: Seriously, take ‘em. Throw ‘em out.

CRISTINA: No you hang onto them.

RICK: Seriously, I wasn’t going to smoke.

CRISTINA: Seriously, I don’t care. Do what you want.

RICK: You don’t think I’m going to be able to quit, do you?

CRISTINA: No. I don’t.

(Cut to George walking down the hall when he stops suddenly hearing a voice)

SOPHIE (singing): I’m feeling lonely all the time …

GEORGE: Oh no.

(He looks over at the nurses’ station where Debbie is standing)

DEBBIE: Oh yeah.

(George opens the patient door apprehensively, not wanting to believe it)

SOPHIE: Irish. That nice lady doctor in gynecology said since I had a hysterectomy back in ’74, I don’t have a uterus to prolapse.

(George walks in and sits dejectedly on the couch seat in the room)

GEORGE (to himself): Dammit.

SOPHIE: I’ve been feeling a bit feverish. (George sits up quickly and grabs Sophie’s chart of her bedside) A woman my age with a fever could be an indication of any number of awful diseases.

GEORGE (disappointed): They took your temperature an hour ago. It was normal. I’m sorry Sophie, but I’m going to have to call your daughter.

SOPHIE: I’m telling you, I’m warm.

(George walks over and places a hand on Sophie’s forehead. She places her own hand over his and smiles)

SOPHIE: That must be one hell of a dog.

GEORGE: Excuse me?

(George removes his hand from Sophie’s forehead but she still holds onto it)

SOPHIE: With those eyes and those nice firm hands … Girl chooses a dog over you … It must be one hell of a dog.

(George smiles at Sophie)

(Cut to Burke and Meredith walking down a hallway together)

MEREDITH: Mrs. Cline’s tox screen and titre both came back negative. I was sure I was right about that.

DR. BURKE (chuckles): Gotta have to adjust your world view Dr. Grey. There are people out there that don’t lie.

MEREDITH: Maybe.

DR. BURKE: Although frankly, the drug use would’ve explained the valve failure.

(They stop walking in the middle of some stairs)

MEREDITH: So how do we proceed?

DR. BURKE: Schedule Mrs. Cline for a surgery.

MEREDITH (nods): Okay.

(Meredith starts heading back up the stairs)

DR. BURKE: Do you want to come over for dinner?

(Meredith stops abruptly on a stair and turns around shocked)

MEREDITH: What?

DR. BURKE: Dinner. Our place. Mine and Cristina’s.

MEREDITH (still shocked): Why?

DR. BURKE: You’re Cristina’s best-friend. I want her to feel welcome to have friends in our home.

MEREDITH: Oh, so she moved in with you?

DR. BURKE: Yes. (suddenly confused) Didn’t she tell you?

MEREDITH (forces a smile): Of course she told me. Why wouldn’t she tell me? She’s in, right? Which you know I think is great.

DR. BURKE: Great.

(He heads off down the stairs leaving Meredith standing looking confused)

(Cut to Dr. Shepard standing in front of an elevator revealing Cristina standing by herself. He walks in. Cristina avoids looking at him)

DR. SHEPARD: Just came from Mr. Friart’s room. He’s convinced that he won’t be able to quit smoking. Says that you agree.

CRISTINA: No he asked my opinion. Want me to apologize?

DR. SHEPARD: No I want you to go in there and tell him that you’re wrong. That you’re having a bad day. You’re favorite uncle died of lung cancer and that every time you see a cigarette you freak out. Say whatever you need to say. Get him to believe that this about you not him. Because if he thinks he won’t be able to quit, he won’t. Then we shouldn’t even do this surgery.

CRISTINA: Fine.

DR. SHEPARD: What is your problem? I’m your boss. What’s the matter-

CRISTINA (interrupts): No you’re not my boss right now. We’re in an elevator. That’s your specialty right? Mc Dreamy moments in elevators.

DR. SHEPARD (warningly): Dr. Yang.

CRISTINA: You know just for a moment, I’m not Dr. Yang and you’re not Dr. Shepard. You’re the guy who screwed up my friend. The guy that drove her to get a dog she can’t keep. The dog she only got because her boyfriend lied to her.

DR. SHEPARD (interrupts): I never lied to her!

CRISTINA: You know what I know a liar when I see one because I’m a liar. Fine you want me to lie to the patient. I’ll lie.

(The doors bing open and she leaves)

(Alex walks back to the Yumi’s exam room with a translator. He looks in the room but it’s empty)

ALEX: Yumi?

(He walks out and to the closest nurses’ station)

ALEX: Hey, the translator is here. Where’s the patient Miyazaki?

GI NURSE: She left with her friend about 20 minutes ago.

ALEX: She wasn’t discharged.

GI NURSE: Sorry, we’re short staffed. I assumed someone else had done the paperwork.

(She leaves)

ALEX: Dammit.

(Cut to Rick in a hallway banging against a vending machine)

RICK: Come on. Dammit. Uh! Uh.

(Cristina walks down the hall and rushes up to him)

CRISTINA: What are you doing out of bed?

RICK: I gotta get a candy bar.

CRISTINA: Uh, you’re on morphine. You’re about to have surgery and you can’t eat. Mr. Friart, please.

(She tries to move him down the hall)

RICK: My Dad’s Mr. Friart. He’s gotta a comb over and a, and a annoying wife named Kimberley so-

CRISTINA (interrupts): Rick. Listen. Earlier I was out of line.

RICK: No you got me to think. I don’t want to be a guy, sitting in a bar with a stump for a hand. Having a smoke 10 years down the line bragging about how I used to play better than Dave Nevaro.

CRISTINA: Yeah, you don’t wanna be creepy, bitter guy.

RICK: Here’s the thing. My last cigarette was this morning. Only, only I didn’t know it was my last cigarette.

(Cut to Cristina and Rick standing outside the hospital where Rick is having what looks like to be a very gratifying cigarette. Dr. Shepard notices this and walks outside and hits against the glass)

DR. SHEPARD (to Cristina): What the hell do you think you’re doing?

(Cristina has a look on her face that says ‘oh shit’)

(Cut to an O.R where a surgery is being performed. The camera pans up to the gallery where Meredith and Cristina both stand at the edge with cups of coffee as all the seats are taken)

CRISTINA: He’s making me stand at the back of the O.R while he re-attaches Rick’s fingers. I can’t even touch a retractor. I hate him.

MEREDITH: Truth. Did you move in with Burke or not?

CRISTINA (sighs): I told him I moved in with him. I’m keeping my old apartment.
(Meredith turns around and gives her a look)

CRISTINA: What? I sleep with Burke every night. My clothes are there. So I still have my apartment, big deal.

MEREDITH: You have to tell him.

CRISTINA: Actually I don’t.

MEREDITH: So I’m supposed to go to dinner at your fake apartment with the guy you fake live with?

CRISTINA: Oh, I would never have you over to dinner with Burke. That’s weird.

MEREDITH (spins around instantly): This is my point. Stop with the lying.

CRISTINA (whispers accusingly): And you’re being honest? That last time you called him Mc Dreamy you were all a-twitter with love.

MEREDITH: We’re just friends.

CRISTINA: Uh huh.

MEREDITH: We are.

(Cut to a hallway at the Infectious Diseases department. George is there with Mrs. Larson talking with an ID resident who is looking through Mrs. Larson’s chart)

ID RESIDENT: That’s not a virus. Are you kidding me?

GEORGE: No, look at her. She’s feverish. She’s much weaker than she was this morning. She could be decompensating.

(Sophie tries to look sickly and coughs)

ID RESIDENT: She’s been here for a month, Dr. O’Malley. You seen any mosquitoes in this hospital lately?

SOPHIE: Oh, such a handsome young man … (The resident gives her a weird look) Those chocolaty eyes …

ID RESIDENT (tries not to smile): In order to test you Mrs. Larson, we’d have to do a spinal tap.

SOPHIE: Will you be doing it?

ID RESIDENT (tries not to look off put by the idea): Yes, ma’am.

SOPHIE: Well then, call me Sophie.

(The ID resident moves to George’s position to wheel Sophie’s bed down the hallway. George starts walking off)

SOPHIE (calls out): Oh nice meeting you Irish!

(She waves and George waves back. He walks off looking pretty smug with himself)

(Cut to Naomi’s room, where Meredith is talking to Mrs. Cline. She hands Mrs. Cline a chart)

MEREDITH: So if you’ll just sign here, we can go ahead and schedule you for surgery.

NAOMI: Oh, okay. … You know you are a gorgeous young woman. Look at you. (She signs the chart) You should smile more.

(Meredith fakes a smile and leaves the room. Camera switches to Meredith outside the room, where she notices Mr. Cline, sitting on a chair out in the hall looking downcast. She walks up to him)

MEREDITH: Mr. Cline.

TOM (stands up): Oh, ah … do me a favor.

MEREDITH: Sure.

TOM: Don’t tell her you saw me. I’m, I’m not sure that I’m going to go in. She’s … she can be exhausting.

MEREDITH (nods): Yeah, she’s really happy.

TOM: You know I thought it was just … falling in love, the wedding, but I was kinda hoping the honeymoon would be over by now, you know? (Meredith nods) I mean it’s not normal, right? (He whispers) Nobody’s that happy.

(Cut to Meredith walking up to the lab tech guy Jeffery at the lab desk)

MEREDITH: Run another tox screen on Naomi Cline.

JEFFERY: On whose orders?

MEREDITH: Dr. Burke’s of course.

(She ticks the form for the test and pushes it forward to Jeffery)

(Cut to Izzie walking up to the on call room. She knocks on the door lightly and enters. Dr. Bailey is lying down on one of the bottom bunks)

IZZIE: I’m sorry to bother you. The paramedics are on their way in with Yumi Miyazaki. She collapsed at the ‘Taste of Seattle’ and is vomiting blood.

(Bailey looks frustrated and sits up)

DR. BAILEY: Damn fool, probably tore her esophagus in two by now.

(She gets up and murmurs a bit, looking like she’s in pain)

IZZIE: Are you okay?

(Bailey takes a moment and then grabs her coat and starts making her way out of the room)

DR. BAILEY: Complications of Boerhaave syndrome. Go.

IZZIE: Pleural effusion, sepsis, shock.

(Cut to a pre-op ward where Yumi is lying breathing difficutly on a bed and Alex is checking her vitals. Bailey and Izzie are there as well. Including a few nurses. Mr. Kamaji is watching from outside looking anxious)

ALEX: Listening for shallow breast sounds. BP is 76 over 42. Tachycardia in the one thirty’s. Start her on high flow O2 and give her a second dose of saline.

DR. BAILEY: Alright, let’s get her to the O.R.

IZZIE: They’re ready and waiting.

(They’re about to start moving Yumi’s bed when she grabs Alex’s hand pleadingly looking upset as if to say why is this happening? Alex looks down and the looks through the glass wall, shooting daggers at the coach)

ALEX: The freaking coach should be the one this gurney.

DR. BAIEY: Let’s keep our eyes on the prize Karev. Saving this woman’s life.

(They start wheeling her out)

ALEX: I’ll meet you guys up there.

(Alex starts walking over to the coach. Izzie notices this)

IZZIE: Me too.

(Izzie walks up quickly to Alex)

IZZIE: Hey, hey. What are you going to do? Punch him out?

ALEX: Yeah.

IZZIE: So you’re going to kick his ass, get yourself kicked out of the program, before you have to open your board scores which is incase you failed. (Her beeper goes off) God, you’re such an idiot.

(She walks away)

(Cut to the O.R where Bailey is operating on Yumi. Alex and Izzie are helping and watching)

DR. BAILEY: Dr. Karev, how do I begin the esophagomyotomy?

ALEX: Cut proximal and distal to the tear to expose the mucosal defect.

DR. BAILEY: Correct. Then we’ll move to debreadment of the defect-

(She gasps suddenly)

DR. BAILEY: Oh!

(She backs away quickly from the operating table, dropping the surgical tools and starts breathing in and out quickly)

IZZIE: Dr. Bailey, those aren’t Braxton Hicks contractions. I believe you’re in pre-term labor.

(Bailey gives her an annoyed look)

(Scene switches to Richard entering the O.R all scrubbed up)

RICHARD: Why didn’t you call me sooner? (Bailey just shakes her head) Alright, just get out of here.

DR. BAILEY: I was gonna fashion a gastric patch-

RICHARD: I taught you the procedure. Now leave.

(Bailey sighs and leaves)

(Cut to Meredith walking up to the blood lab for the results but finds Dr. Burke already there. She walks up slowly to him)

DR. BURKE: Got paged Dr. Grey. Jeffery wanted to give me the results to the extensive blood work that I ordered. (He gestures to the forms Meredith filled in) You forged me signature?

MEREDITH: That’s really bad, right?

DR. BURKE: Yeah that’s really bad. Naomi’s not on drugs. The test came back negative.

MEREDITH (amazed): They did?

DR. BURKE: They did. Again. (Meredith shakes her head in disbelief) Next time you forge me signature, let me know. Save me a trip.

MEREDITH: That’s it? You’re not going to yell and say ‘Dammit Grey’ and storm out?

DR. BURKE (smiles): I will if you want me too.

MEREDITH: No.

JEFFERY (walks up to them with another test): Dr. Burke, here’s another one. Her serotonin level is through the roof.

DR. BURKE: Dr. Grey, you took a detailed history?

MEREDITH: Mmm Hmm.

(They start walking down a hallway)

DR. BURKE: When did Mrs. Cline develop asthma?

MEREDITH: After the first surgery. Why?

(Cut to Naomi’s room where she is sitting happily on her bed. Tom is standing by her bedside. Burke and Meredith are in there as well)

DR. BURKE: We found a carcinoid tumor in the lump. Very rare. Almost impossible to diagnose. It masses itself as a bunch of seemingly unrelated symptoms. Adult onset asthma, valve failure-

MEREDITH: An increased level of serotonin in the blood.

DR. BURKE: Which creates a false sense of euphoria.

(Naomi smiles broadly)

TOM: So, Naomi is not actually this happy. She just has a tumor?

DR. BURKE: Exactly.

(Meredith nods)

TOM: Thank god.

NAOMI: You people with your tumors. I tell ya, I’m infected with love!

(She laughs)

MEREDITH: I’m sorry. Your body is lying to your mind.

NAOMI: Oh let the lie continue, (to Tom) right baby?

TOM (chuckles uncomfortably): How soon can you cure her?

DR. BURKE: Tomorrow, we can take the tumor out. If all goes well, Naomi goes back to normal.

TOM: Alright, thank you both.

(Burke and Meredith leave the room and walk into the hallway)

MEREDITH: Thank you for not chewing me out for forging your signature.

DR. BURKE: Thank you. (Meredith looks confused) I know it was probably you who convinced Cristina. She’s very strong but she listens to you. If you told her to move in … (He smiles briefly) Anyway, thank you.

(Burke walks off and Meredith is left looking a little uncomfortable)

MEREDITH: No problem.

(Cut to the O.R. where Dr. Shepard is about to start performing surgery on Rick. Cristina is in the O.R but watching right from the back)

DR. SHEPARD: Now do you have any sensation in your left arm at all?

RICK: Nope. (A doctor moves to shield Rick from watching) Actually, could I watch?

(The doctor drops the covering so Rick can see)

RICK: I wanna see every blood vessel and nerve I’m gonna screw up if I ever smoke again. Not that I’m gonna. Ever again. (He makes eye contact with Cristina) I smoked my last cigarette.

(Shepard notices this)

DR. SHEPARD: Okay, let’s get started.

(Cut to Miss. Larson, Sophie’s daughter talking to Nurse Debbie at a nurse’s station)

MISS LARSON: The nursing home said she never showed up. How exactly is that possible?

DEBBIE: She wouldn’t leave.

MISS LARSON: My mother is old and infirm. You couldn’t make her leave?

DEBBIE: Have you met your mother?

MISS LARSON: Fine. Where is she now?

(George who is walking by notices Miss. Larson)

GEORGE: Oh, hi I’m Dr. O’Malley. She’s in the infectious disease server.

MISS LARSON: Infectious Disease. Since when does she have an infectious disease?

GEORGE: She doesn’t. She just doesn’t want to leave.

MISS LARSON: Ah, she’s unbelievable.

GEORGE (smiles): Yeah she is. … So is her room ready? Cou, I could go get her right now.

MISS LARSON: They’ve had the room ready for weeks.

GEORGE: No, ah not at Sugar Maple. I meant at your house.

MISS LARSON: I’m sorry?

GEORGE: The, the pink room … (realization dawns) at your house.

(Miss Larson just gives him a look)

(Cut to George entering Sophie’s infectious disease room where she’s watching television)

GEORGE: Hi Sophie.

(Sophie switches off the TV)

SOPHIE: Irish, what a wonderful surprise! You won’t catch my disease will you?

GEORGE: No, I think I’ll be okay. … Sophie, your daughter was just here.

(Sophie stops smiling instantly and gets teary eyed)

SOPHIE: Nursing homes are for old people. I know I’m elderly. I do know that. … But if I have to go that place, I’m afraid I’ll become old.

GEORGE (takes her hand and smiles): I don’t think that’s possible.

SOPHIE (smiles): Oh.

GEORGE: You know that I, I would keep you here if I could.

SOPHIE: No darling you can’t waste any more time with me. You have to go balls out with the dog.

GEORGE: Excuse me?

SOPHIE: So she chose an animal over you! So what? Women are fools. That’s old news. But life’s too short for you to give in Irish. … So fight, you fight for what’s yours.

(George leans down and kisses Sophie’s hand and walks to the door)

SOPHIE: Now that my friend is a swagger.

(George closes the door and places his hand against the clear glass door. Sophie lifts her hand to return the gesture. George heads off)

(Cut to Richard in the O.R operating on Yumi with Izzie and Alex helping)

RICHARD: I’ll be closing the peritoneal cavity with zero chromic sutures.

(Nurse Debbie knocks on the glass window of the scrubs room holding up a piece of paper)

ALEX: Chief.

(Richard turns around and sees Debbie and then turns back to the operating table)

RICHARD: Let’s get back to it. Move back on that retractor. Give me more suction.
(Debbie enters the O.R)

RICHARD: What’s going on?

DEBBIE: I tried but you wouldn’t listen. It is now 6.07. The second shift of nurses started at 6. They’re not coming in.

RICHARD: Do you have any idea what a sit out would do to this hospital?

DEBBIE: I’ve already put in the call for temps.

(She puts down the paper she was holding on a table nearby)

RICHARD: What’s this?

DEBBIE: Official notification. We go on strike in 10 days.

(Cut to Yumi’s post-op room where she is lying on a hospital bed. Alex is writing in her chart and Izzie is checking on her)

ALEX: You’re doing good Yumi. You’re doing just fine.

(Yumi speaks Japanese)

IZZIE: We should get the translator back up here. She doesn’t understand what’s going on. (to Yumi) We’ll be back.

(They head out of the room where they run to Mr. Kamaji in the hallway)

ALEX: What the hell are you doing here?

MR. KAMAJI: I never would’ve … I thought she would be fine. I’m sorry.

ALEX: Don’t tell me. Tell her. Tell her how her career is over because of you.

(Alex steps aside so Mr. Kamaji can walk in. Mr. Kamaji walks in slowly and bows deeply in apology and shame. Alex looks back at Izzie who nods. He reaches into his pocket and pulls out the envelope Richard gave him. They move away from the door)

IZZIE (pats Alex on the back): Way better than punching him out.

ALEX: Hey uh … can you (he holds out the envelope to Izzie)

IZZIE (takes the envelope): You want me to open it?

ALEX: Yeah, yeah you know it’s just, I can’t.

IZZIE (she tries to hand it back): I shouldn’t, I mean I-

ALEX (interrupts): Look you already think I’m an idiot. It won’t be anything shocking.

(Izzie sighs and opens the envelope. She pulls out the letter and reads it. She puts the letter in front of Alex)

IZZIE: Congratulations. (Alex grins at her and looks down at the letter) You are not an idiot. Except when you’re being an idiot.

(Izzie walks off)

(Cut to Cristina checking on Rick’s fingers in his patient room. She walks out the room where she runs into Shepard)

DR. SHEPARD: How’s he doing?

CRISTINA: Ah jonsing for a cigarette but I’ll think he’ll make it to the end of the day.

DR. SHEPARD: Good. … I was being nice to her.

CRISTINA: Okay.

DR. SHEPARD: I can be nice without being … (he gestures)

CRISTINA (disbelieving): Mc Dreamy, I know.

DR. SHEPARD: I really can.

CRISTINA (still disbelieving): Okay.

DR. SHEPARD: Okay then.

(He walks into the room)

(Cut to a nurse pushing Dr. Bailey dressed to go home in a wheelchair down a hallway. Addison is walking beside her and they are being followed the ‘gang’ Cristina, Izzie, Meredith, Alex and George)

ADDISON: Bed rest at home until the baby comes. You do know what bed rest is don’t you Miranda?

DR. BAILEY: Yeah hell.

(She’s being wheeled backwards into an elevator)

IZZIE: Hell with TV and books. (She hands Bailey a present) Here it’s from all of us.

(Bailey takes it grudgingly. They all smile at her from outside the elevator. They elevator doors begin to close, but Bailey stops it with her foot)

DR. BAILEY: I may be 47 months pregnant (the camera shows the group who look apprehensive as they were about to walk off. Addison has already walked off) I may be on bed rest. I may not be able to see my own feet but I am Dr. Bailey. I hear everything. I know everything. I’m watching each and every one of you. And I will return.

(The doors close)

(Cut to Richard wiping the O.R board clean himself. Burke is standing near the stairs watching him. Shepard walks up to Burke)

DR. SHEPARD: Strike?

DR. BURKE: Strike.

RICHARD (turns around): You are all a bunch of arrogant surgeons.

(He walks off. Burke and Shepard exchange looks)

(Cut to Cristina walking into an empty gallery except for Meredith who is on her mobile)

CRISTINA: Hey.

MEREDITH: Hey. (She hangs up) That was Izzie. She refuses to take the dog home.

CRISTINA: Mmm Hmm. (She sighs and sits down in front of Meredith) Fine, if you want me to tell Burke I didn’t move in I’ll tell him.

MEREDITH: No don’t.

CRISTINA: What?

MEREDITH: Don’t tell him. At least not right now or tonight. (Cristina sighs in relief) I just mean wait. It can wait. (Cristina nods) I lied about Derek. We’re not just friends. I mean I’m not. He’s still Mc Dreamy.

(Cristina stands up and rubs Meredith’s arm comfortingly)

CRISTINA: I know.
 
(She walks out of the O.R) 

(Cut to the intern locker room where the camera pans past a notice board showing a flyer for Doc. George walks in and sees Doc lying down on the floor. In fact there are a lot fliers advertising Doc. Meredith is sitting dressed to go home in front of her locker. George sits down next to her)

GEORGE: You don’t get to choose. I know you’ve been going through a bad time. I know you miss Shepard. And I know that your life has admittedly been pretty unpleasant these days. You get points for breathing in and out. You get to be a little selfish. But you don’t get to choose a dog over me. … I’m George. I sleep down the hall from you. I buy your tampons. I have … held your hand every time you’ve asked. I’ve earned the right to be seen. To be respected. To not have you think of me as less than a dog that you got at the pound. … …. So, I’m not moving out. Whether you like it or not, I’m staying.

(Meredith just looks at him)

MVO: No matter how hard we try to ignore it or deny it. Eventually the lies fall away.

(Cut to Cristina sitting up-right looking hesitant on Burke’s bed. She sighs and lies down next to Burke who wraps his arms around her)

DR. BURKE: I’m glad you moved in.

CRISTINA: So am I. 

MVO: Whether we like it or not. 

(Cut to Izzie, Meredith and George exiting out of Meredith’s Jeep. Izzie hands George some Doc’s toys while Meredith gets Doc out from the back)

MEREDITH: Okay Doc. Let’s go.

(The camera pans up and we see that they’re in front of Derek’s trailer. Derek and Addison out and meet them. Meredith looks upset)

DR. SHEPARD: Hey Doc. Hey buddy. Welcome home.

ADDISON: Hey. He’s beautiful.

(They start patting Doc)

IZZIE: Oh here’s his toys.

GEORGE: And his food and water.

MEREDITH: Here.

(Meredith hands the leash over to Addison)

MEREDITH: Thanks for doing this. I know it’s a lot to ask.

ADDISON: It’s alright. It’s just a dog, right? Come on Doc.

(She walks away and takes Doc into the trailer)

IZZIE (to Meredith): Ah, we’ll just wait for you in the car.

MEREDITH: Okay. (George and Izzie walk back to the car) So he ah chews everything. So don’t leave anything out. (Derek nods) He hates cats and small little yappy dogs. Oh (she shakes her head) not house broken.

DR. SHEPARD: Oh!

MEREDITH: Probably should’ve told you that.

DR. SHEPARD: Yeah.

(They stare at each other for a bit)

MEREDITH: You don’t have to do this you know.

DR. SHEPARD (nods): What I got, I got all this land. It’s just going to waste.

(Meredith nods)

MEREDITH: Derek.

DR. SHEPARD: It’s just a dog. It doesn’t mean anything. It’ll be a fine.

(Meredith forces a smile)

MEREDITH: Yeah. Okay. Goodnight.

DR. SHEPARD: Goodnight.

(Meredith turns back towards her car)

MVO: But here’s the truth about the truth. It hurts.

(Dr. Shepard looks on after her for a bit and then heads back into the trailer)

MVO: So we lie.