(Chez elle, Meredith est allongée dans son lit.)
MEREDITH VOIX OFF (MVO) : La communication. C’est la première chose qu’on apprend dans la vie.
(Meredith sort de chez elle. On la voit dans sa voiture se rendre à l'hôpital. Dans les vestiaires, plusieurs internes se changent tout en parlant de Meredith.)
INTERNE 1 : Elle savait même pas qu’il était marié, c’est vrai sa femme à débarqué dans l’hôpital et il l’a lourdé. J’ai entendu dire qu’elle pété un câble.
INTERNE 2 : Qu’est ce qu’elle espérait ? Elle a eu ce qu’elle méritait en sortant avec un titulaire.
INTERNE 1 : Sortir avec le Dr Mamour. T’as vu ses cheveux ? Aucun type n’est aussi parfait.
INTERNE 3 : Je trouve que c’est triste. Elle doit bosser ici. Avec lui. Avec eux. Tout le monde est au courant.
(De l'autre côté des casiers oû parle les internes, Meredith les écoute parler.)
MVO : Ce qui est amusant, c’est que plus on grandi, et plus on connaît de mots, moins on trouve quoi dire ou comment demander ce dont on a vraiment besoin.
(Derek et Addison sont en thérapie chez un conseiller conjugal pour parler de leur mariage.)
CONSEILLER CONJUGAL : Qu’est ce qui vous faut pour que ce mariage fonctionne ?
DEREK : Je veux qu’elle vienne vivre à Seattle.
ADDISON : Justement c'est...
CONSEILLER CONJUGAL (l(interrompant): Addison, que vous faut-il ?
ADDISON : Je veux qu’il arrête de parler à Meredith.
DEREK : Euh, je bosse avec elle.
ADDISON : Tu veux que je délocalise mon cabinet médical et que je m’installe ici, bien ! Je veux que tu laisse tomber ta petite amie.
DEREK : J’ai laissé tomber ma petite amie. T’as voulu qu’on recommence notre histoire, on la fait ici à Seattle.
ADDISON : Vous voyez, une fois encore c’est comme il veut, lui.
DEREK : Elle ne m’écoute pas. Je ne repartirai pas à Manhattan. Je ne suis plus le même homme, va falloir que tu t’y habitues.
ADDISON (l'interrompant): Tu aimes aller pêcher, couper du bois, porter de la flanelle. J'ai compris.
DEREK : C’est génial, je ne lui parlerai plus si elle continue à se comporter comme ça.
ADDISON : Bien !
CONSEILLER CONJUGAL : Je suis désolé. C’est terminé. Bon progrès.
(George, Cristina et Izzie attendent Bailey devant le bureau des infirmières pour faire les visites.)
GEORGE : On dois faire quelque chose. Meredith est devenue une chose, une sorte de curiosité. (Cristina baille) Comme tu sais... cet animal de zoo, comme ce panda rare que tout le monde regarde.
IZZIE : Je t’en pris ne lui dit pas ça en face. Je crois que ce panda est mort seul.
(Cristina rigole.)
GEORGE : Ca pourrait être facilement être toi. Si tout le monde savait pour toi et …
CRISTINA : Retire ce que tu viens de dire.
GEORGE : Non. En fait ce que je dis, on dois trouver un truc pour la mettre de bonne humeur.
IZZIE : T’inquiète pas pour ça.
Cristina : On contrôle la situation.
George : Quoi, mais qu’est ce que vous avez en tête ?
IZZIE & CRISTINA : Rien.
GEORGE : Quoi ?
(Bailey et Meredith arrivent au bureau des infirmières.)
BAILEY : Oû est Karev ?
IZZIE : Sûrement quelque part, en train de ne pas embrasser quelqu’un.
BAILEY : Allons’ y O’ Malley.
(Ils s'en vont. Meredith, Cristina et Izzie les suivent à quelques pas derrière eux.
CRISTINA : Tu sais, après la visite, on a quelque chose à te montrer.
IZZIE (regardant Meredith) : Meredith ? Meredith tu nous entend ?
CRISTINA : Elle est sourde.
IZZIE : Elle a l’air très bizarre.
CRISTINA : Qu’est ce que tu espérais ? Derek ne l’a pas choisi, elle pété les plombs.
IZZIE : Meredith, tu as pété les plombs ?
MEREDITH : Non, je n’ai pas pété les plombs.
CRISTINA (excitée): Tu vois elle va bien. On a un truc à te montrer. Alors quoique tu fasse, surtout n’acceptes aucune chirurgie ce matin.
IZZIE : C’est vraiment génial.
(Elles marchent vers un ascenseur, excepté Meredith qui regardent Derek et Addison en sortir. Elle reste debout à les fixer. Un groupe d'internes passent en parlant d'elle. Cristina revient la chercher et elles entrent dans l'ascenseur.)
INTERNE : Regarde droit devant, c'est l'interne.
CRISTNA : Occupe toi de tes affaires.
(Dans la chambre d'un patient, une femme âgée, Kimberley Griswold est allongée sur un lit. Son mari est à côté en train de déballer ses affaires. Cristina, George, Izzie, Bailey et Burke sont là.)
CRISTINA : Mme Kimberley Griswold. Antécédents de cardiopathie, opérée plusieurs fois. Elle vient pour un quadruple pontage sans C.E.C.
(Alex entre dans la chambre.)
IZZIE : T’es en retard.
DR BURKE : Oui Karev, ravi que tu nous est rejoint. (Il le regarde puis se retourne vers les autres.) Pourquoi laisser le cœur battre Dr Yang ?
CRISTINA (regarde Izzie puis Burke): Je n’en sais rien.
BURKE & BAILEY : Quoi ?
CRISTINA : Je n’en ai aucune idée.
(Bailey regarde Izzie.)
IZZIE : J’en sais rien non plus. Désolé.
MEREDITH : Parce que ça permet… (Izzie la regarde en fronçant les sourcils.)
BURKE : Quelqu’un d’autre ?
ALEX : On diminue le stress à cause des antécédents chirurgicaux...
BURKE l'interrompant): O’ Malley.
ALEX : Je connais la réponse.
BURKE : Je pose la question à O’ Malley.
GEORGE : La cicatrice cardiaque est trop importante. Le cœur serai trop faible pour repartir à nouveau alors on ne met à l’arrêt que la partie du cœur que l’on opère et on laisse le reste du cœur fonctionner.
(Ils regardent les filles bizarrement, Alex quitte la pièce.)
BURKE : Bienvenue sur ce cas.
GEORGE : Merci.
IZZIE (murmurant aux deux filles): Allez venez on y va.
MME GRISWOLD : Qu’est ce que c’est ?
MR GRISWOLD : Un pyjama.
(A l'extérieur de la chambre, Alex parle à Bailey. Meredith, Izzie et Cristina partent de l'autre côté en chuchotant.)
ALEX : C’est injuste et vous le savez. Il me punit pour l’ascenseur.
BAILEY (en colère): Il te punit parce que tu étais en retard pour la visite. Tu peux me dire pourquoi tu étais en retard ? (Alex ne dit rien.) Le Dr Shepherd veux quelqu’un pour un cas neuro aujourd’hui. Vas-y.
(Alex s'en va. Bailey se tourne vers les filles.)
BAILEY : Quant à vous trois ! Faites en sorte de ne pas m'embarasser devant les titulaires ou comptez sur moi pour que vos coeurs s'arrêtent de battre. C'est clair ?
(Elles murmurent des excuses et partent. Bailey les regarde, surprise de leurs comportements.)
(Cristina, Izzie et Meredith descendent des escaliers.)
MEREDITH : Qu’est ce qui se passe ?
IZZIE : On a trouvé un cas.
MEREDITH : Vous avez volé un cas.
CHRISTINA: Disons qu’on l’à emprunté à la psy. Les premiers examens sont OK et c’est un cas qui est vraiment sans précédent.
IZZIE (en souriant): Et on l’a trouvé.
MEREDITH : Non, volé.
CRISTINA : D’accord, trouvé, volé, détourné comme tu voudras.
(Elles marchent dans un couloir et s'arrêtent devant la porte de la chambre d'un patient.)
CRISTINA : Meredith, derrière cette porte il y a le mystère médical le plus insensé que j’ai jamais vu. Maintenant, tu peux choisir, soit tu t’en vas et tu refuses d’être impliqué, soit tu franchis cette porte en risquant de perdre ta place dans le programme, ce qui pourrait te condamner à passer le restant de ta vie à servir des frites en uniforme. (Meredith la regarde, Izzie semble excitée) Alors tu suis ?
MEREDITH : Oh que oui !
(Izzie frappe à la porte, elles entrent.)
CRISTINA : Mr Hermann.
SHANE : Oh non, s’il vous plait appelez moi Shane. (Il s'assoit sur le lit, tournant le dos aux les filles.) Je dois aller aux toilettes, encore ! (Cristina ferme la porte derrière elle.) Je suis obliger d’y aller toutes les 30 secondes ces temps-ci.
MEREDITH (murmurant) : Y’a rien d’exceptionnel.
CRISTINA : Attends un peu.
IZZIE : Attends.
SHANE : Je suis très heureux d'avoir quitter le service de psychatrie.
MEREDITH : Qu'est-ce qu'il a de particulier ?
CRISTINA (murmurant): Attend un peu je te dis.
(Shane a du mal à se lever. Meredith le regarde, confuse. Il commence à marcher vers la salle de bain.)
SHANE : Je ne suis pas cinglé. Je suis enceint.
(On voit que Shane a un gros ventre. Meredith le regarde, sous le chox, Izzie et Cristina ne sont pas étonnée.)
(Meredith, Izzie et Cristina aident Shane à se rallonger sur le lit.)
SHANE: J’allais très bien et le mois dernier un ventre énorme. Mon médecin n’arrêtais pas de dire que je prenais du poids avec ma femme. Elle doit accoucher le 30. C’est notre premier.
MEREDITH : Toutes nos félicitations.
CRISTINA: L’interne qui A fait l’admission l’a envoyé en psychatrie. Il a fait à peine d’examens physique. (à Izzie) Tu entend ça.
IZZIE: C'est pas du fluide. Y a quelque chose la dedans.
SHANE : C’est sur y'a quelque chose là dedans. Je peux vraiment sentir que ça devient de plus en plus gros, que ça grandit dans… vous savez... mon utérus. (Les filles le regardent étonnées.) Oauis, je sais ça à l’air dingue. Je sais... mais je peux le prouver.
(Une infirmière, Debbie, veut entrer dans la chambre.)
DEBBIE : Cette chambre est sensée être inoccupée. A qui est ce patient ?
CRISTINA & IZZIE (se désignant l'une l'autre): C'est elle.
(Shane les regarde confus.)
DEBBIE : Qui l'a transférer ici ? Je n’a aucun papier le concernant, aucun document de transfert.
CRISTINA : Je vous en prie. On échange les chambres sans arrêt. S’il a besoin que son bassin soit changé, on vous le fera savoir.
(Elle attrappe le rideaux qui cache maintenant Shane.)
DEBBIE : Très bien Dr, comme vous voudrez.
(Debbie s'en va.)
MEREDITH : D’accord, où est son dossier ? (Cristina et Izzie se regardent) Ne me dites pas que vous n’avez pas son dossier. Vous volé un patient et vous ne prenez même pas son dossier.
CRISTINA (à Izzie): Ca c’était ton boulot.
IZZIE : Non, moi j’étais sensé faire le guet.
(A l'étage psychatrique, un interne, Raj, est assis dans un bureau avec plusieurs dossiers. Meredith se rapproche de la vitre et frappe. Il la regarde étonné et ouvre la fenêtre.)
MEREDITH : Comment ça va ? Vous allez bien ?
(Alors que Meredith parle, Izzie et Cristina se faufilent derrière pour voler le dossier de Shane.)
MEREDITH : Vous avez l’air d’aller. Oh souriez, on est amis.
RAJ : Quel est mon nom ?
(Meredith regarde son badge mais il le cache de sa main.)
MEREDITH : Oh d’accord. C’est vrai que je ne connais pas votre prénom.
(Il se retourne mais Cristina et Izzie se sont baissées.)
MEREDITH : Mais ça nous empêche pas de parler. (Il se tourne vers Meredith) Vous n’avez pas besoin d’être chirurgien pour que je parle avec vous.
RAJ : C’est vrai ?
MEREDITH : C’est vrai.
RAJ : Je ne pensais que vous ne fréquentiez que des titulaires.
(Cristina prends le dossier et court. Raj ferme la fenêtre devant Meredith.)
(Dans la chambre d'un patient, une jeune fille se nomant Nicole est dans une chaise roulante. Ses parents, ainsi que Derek et Alex sont là aussi.)
DEREK : Alors Nicole, vous avez des problèmes de paralysie spasmodiques ?
NICOLE : Maman ?
MME VERMA : Elle dit que des spasmes font danser ses jambes.
MR VERMA : Nous voulons seulement lui rendre les choses plus faciles. Elle rentre à l'université cet automne.
(Nicole regarde Alex timidement, il lui sourit.)
MME VERMA : A la Seattle community. C’est juste en bas de notre rue.
MR VERMA : Ce n’est pas qu’elle n’aurait pas pu aller dans d’autres université du pays.
MME VERMA : Mais elle n’est pas encore prête.
ALEX (regardant Nicole) : Pourquoi ? Pas parce qu’elle est en fauteuil roulant ?
DEREK : Est ce que le Dr Austen a parlé d'une intervention appelé systoplastie ? Non ? C’est une opération pour élargir la vessie de Nicole. On créée une ouverture appelée stomie. Ca améliore la qualité de vie d’un grand nombre de mes patients paralysés.
MR VERMA : Nous pensons à cette idée depuis quelques années.
MME VERMA : Ce n’est pas pour nous.
MR VERMA : Mais peut être que nous pourrions y repensez.
MME VERMA : Repensez à une intervention invasive et risquée et qui à un taux d’échec de 20 % ? Ca m’étonnerait.
DEREK : Nicole, ça mérite que vous preniez ça en considération. Vous n’auriez plus à porter cette sonde urinaire en permanence. Et surtout ça vous permettrez d’améliorer votre qualité de vie. Vous seriez comme toutes les filles de votre âge. Vous auriez le contrôle de votre vessie, plus de poche. Vous auriez une vie sexuelle plus normale.
(Nicole le regarde timidement. Sa mère semble inconfortable à cette idée.)
DEREK : Quand vous en serez là bien sur.
MME VERMA (à Nicole): Nous sommes venus là pour traiter ses douleurs. C’est tout.
(Alex et Derek sont dans le couloirs.)
ALEX : Cette fille et sa mère partagent le même cerveau. Elle refusera cette intervention
DEREK : Je veux que tu gardes Nicole avec toi où que tu ailles aujourd’hui. Emmène là au labo, prendre un café, emmène là où tu voudras. Mais surtout loin de ses parents.
ALEX : Vous voulez que je babyste la fille au fauteuil roulant ?
DEREK : Nicole. Elle te trouve mignon. C’est une adolescente, ce qui veut dire qu’elle peut meme t’écouter.
ALEX : Vous voulez que je la convainc de se faire opérer.
DEREK : Je veux que tu la convainc qu’elle prenne la décision elle même.
ALEX : Et comment je dois faire ça à votre avis ?
DEREK : Oh Alex soit créatif. Tu trouvera quelque chose. Merci.
(Derek s'en va.)
(Dans la chambre de Mme Grinswold, Burke est en train de l'examiner. George est là pendant que Mr Grinswold range les affaires de sa femme.)
BURKE : Ca va être une intervention importante, même pour une habituée des opérations à cœur ouvert comme vous.
MME GRISWOLD : La chambre était plus grande la dernière fois. Elle était plus lumineuse. Et avec plus de soleil. (à son mari) Allan, cette eau est chaude, je veux plus de glaçons. (Il va chercher de la glace.)
BURKE : Je vais vous faire un scanner avec injection. Ensuite nous monterons au bloc dans l’après midi. Vous comprenez tous les risques encourus.
MME GRISWOLD : J’ai bien vécu ça trop de fois pour ignorer les risques encourus. (à son mari) Va à la fenêtre ouvrir les stores. Cette chambre est déprimante.
(Mr Griswold va à la fenêtre pour ouvrir les stores.)
BURKE : Je repasserai un peu plus tard.
(Mr Grisldwold ouvre les stores, mais le visage de sa femme indique que c'est trop brillant, il essaye de régler comme il peut. Burke et Goerge s'arrêtent devant la porte de la chambre.)
BURKE : Conduis la à la salle sinthyotalium. Et rapporte ces radios dans sa chambre.
GEORGE : Dr Burke, merci de m’avoir choisi pour vous assister aujourd’hui.
BURKE : Tu est mon homme, O’ Malley.
GEORGE : Ah bon, je... je suis votre homme.
MME GRISWOLD (à son mari): Passe moi les mouchoirs... Non, attend. Il y a des microbes dans les hôpitaux, donne moi le désinfectant qui est dans ma mallette.
(George et Burke s'éloignent de la chambre.)
GEORGE : Pourquoi vouloir être avec une personne qui vous rend si malheureux ?
BURKE : Excuse-moi ?
GEORGE : Je veux dire, vous êtes heureux avec Cristina. Et elle est heureuse. Ca n’a rien avoir avec la façon dont les personnes sont heureuses mais… (Burke le fixe, George se sent mal à l'aise) Mais elle est heureuse depuis que tout les deux… George réalise de quoi ils sont en train de parler) Je me charge du scanner. Je suis votre homme.
(Burke s'en va.)
GEORGE : Et je suis un idiot.
(Cristina, Meredith et Izzie sortent d'un asenceur en regardant le dossier de Shane. Elles avancent sans remarquer Derek.)
CRISTINA : Regarde ça.
IZZIE : Tu te rends compte Meredith. C’est incroyable comme cas chirurgical.
DEREK : Salut. Oh. Salut Meredith, peut-être qu’on pourrait enfin parler ?
(Meredith le fixe en silence.)
IZZIE ET CRISTINA (secouant la tête) : Non.
(Elles poussent Meredith au loin.)
DEREK : D’accord.
(Alex sort de l’ascenseur en poussant la chaise roulante de Nicole.)
ALEX : Bip bip.
NICOLE : Qu’est ce que vous avez fait pour rester coller à moi ?
ALEX : Rien.
NICOLE : Je vous en prie, je sais bien que vous ne poussez pas mon fauteuil pour vous amusez.
ALEX : Non. J’étais en retard pour la visite.
NICOLE : Pourquoi ?
ALEX : Euh, parce que j’avais des choses à faire. (Il voit Izzie, Meredith et Cristina marcher dans le couloir devant lui.) Hey Izzie !
(Elles continuent à marcher. Il court après Izzie en poussant Nicole.)
ALEX (hurlant): Izzie ! beauté !
(Izzie fait signe aux autres de continuer. Elle se tourne pour faire face à Alex.)
ALEX : Je voulais te demander un service, je crois que t'as bien plus de facilité à entrer en contact avec les gens ; alors je me suis dis...
IZZIE (l'interrompant d'une voix froide): Non.
(Elle se tourne pour partir.)
ALEX : Tu sais même pas que quoi je parle...
(Elle se retourne.)
IZZIE (l'interrompant avec colère): Non ! Non. On dirais un disque rayé. Tu n’est gentil ou amical ou souriant que quand ça peut t’arranger. Alors pas de service. Non pas à toi. Non.
(Elle recommence à marcher de nouveau.)
ALEX : Qu’est ce qui te prends ?
(Elle se tourne de nouveau, vraiment en colère.)
IZZIE : J’avais mis une robe ! J’étais bien coiffée ! J’avais une soirée de libre en deux semaines et je t’en ai fais cadeau. Et qu’est ce que j’ai eu ? Rien. Ni respect. Ni excuses. Tu ne m’as même pas... embrasser en partant. Tu veux que je te dise, tu est un lâche et tu es aussi superficiel que tu en à l’air. Alors j’en ai marre d’essayer d’être amie ou autre chose. J’en ai marre.
(Elle marche dans le couloir et passe les doubles portes. Alex reste figé.)
NICOLE : Elles est très fâchée contre vous.
(Dans la chambre de Shane, sa femme enceinte est assise sur le lit. Cristina parle avec elle. Shane est dans la salle de bain, Meredith l'attends à l'extérieur.)
MEREDITH : Une analyse d’urine, c’est la dernière chose qu’il nous faut Mr Hermann.
(Izzie entre dans la chambre.)
CRISTINA : Voici la femme de Shane, Tina.
IZZIE : Salut.
CRISTINA : Elle est aussi enceinte.
(Shane sort de la salle de bain avec un flacon d'urine.)
MEREDITH : Et pouvez vous nous dire ce que a précipité l’épisode psychotique qui vous a fait admettre dans cet hôpital.
SHANE : Ce n’était pas un épisode, d’accord ? Et je ne suis pas psychotique. Je suis enceint ! Sincèrement, vous ne flipperiez pas à ma place ? (à sa femme) Chérie, tu l’à apporté ?
TINA : Oui, oui.
SHANE : Génial. (Il commence à chercher quelque chose dans son sac.) Je peux prouver à tout le monde que je ne suis pas cinglé.
RAJ : C’est mon patient !
IZZIE : Oh oh.
CRISTINA : Oui, mais il est à nous maintenant. Si vous voulez qu’on se bagarre, je vous jure que je gagnerai.
(Shane sort un baton et le met dans la flacon d'urine. Bailey arrive cet instant.)
BAILEY : Bon,qu’est ce qui se passé là dedans ?
CRISTINA : Dr Bailey. (à Shane) Un moment s’il vous plait. (à Bailey) Regardez son abdomen.
(Raj s'approche.)
RAJ : C’est une grossesse nerveuse chez un homme, rien d’autre. C’est un cas psychiatrique. (Il montre l'abdomen de Shane.) Et il est à moi !
SHANE : Je ne suis pas fou, docteur ! Je suis enceint !
(Izzie est distraite par le test de grossesse que Shane a utilisé.)
RAJ : Vous voyez ? C’est psy !
CRISTINA : Non, son ventre est distendu. Il n’y a aucun signe d’acite et je sens clairement une masse en faisant la palpation. C’est chirurgical.
IZZIE (doucement): Attendez.
SHANE (voyant le test): Je peux prouver la grossesse.
RAJ : Psy.
CRISTINA : Chirurgical.
BAILEY : Je vous en prie. Vous êtes médecins. Agissez comme tel.
(Izzie s'empare du test de grossesse.)
IZZIE : Hey.
RAJ : Psy !
CRISTINA : Chirurgical !
RAJ : Psy !
CRISTINA : Chirurgical !
RAJ : Psy !
CRISTINA : Chirurgical !
IZZIE (d'une voix forte): Hey ! Shane a fais un test de grossesse et il est positif.
(Cristina regarde Raj, Bailey tient le dossier de Shane dans ses mains.)
BAILEY : Alors il n’y a plus de doute, il s’agit d’un patient chirurgical.
(Cristina et Izzie échangent un regard satisfait. Raj semble déçu.)
(Une douzaine personnes se trouvent mainteant dans la chambre de Shane. Des photographes prennent des photos alors que Addison examine Shane.)
BAILEY (doucement à Izzie et Cristina): N’allez surtout pas vous imaginer que je tolère le vol de patient. Cela dit... bravo.
SHANE : Le premier test de grossesse que j’ai fait c’était une blague pour faire rire Tina.
TINA : On ne croyait pas qu’on aurait... ce genre de résultats.
ADDISON : Mr Hermann, je peux vous assurer que vous n’êtes pas enceint.
SHANE : Quel soulagement d’entendre ça, de façon officielle. (Addison quitte la chambre.) Mais pourquoi le test a viré au bleu ?
BAILEY : Eh bien c’est ce que nous allons découvrir. Stevens, fais moi un bilan large, sans oublier les marqueurs tumoraux. Et demande qu’on nous réserve une place pour le scanner.
SHANE (regarde la caméra bizarrement): C’est pour quoi déjà ?
(Le biper de quelqu'un se met à sonner.)
IZZIE : Les revues médicales, le rapport mensuel des cas.
CRISTINA : Ses photos illuminent le banquet annuel des médecins.
IZZIE : On fait un sourire.
(Elles posent toutes les deux pour une photo avec Shane. Un biper sonne encore.)
BAILEY : Eh ! C’est le bipeur de qui ça ?
CRISTINA : Hum, le mien. Mais j’ai trouvé ce patient alors quelqu’un...
BAILEY (l'interrompant): Tu rêves. On ignore jamais un appel Yang.
(Elle fait un geste de la main pour que Cristina parte. Elle quitte la chambre. Shane a l'air mal à l'aise. Bailey se rapproche de Shane avec un mètre.)
BAILEY : Excusez-moi. (Elle mesure l'abdomen de Shane.) Bon. On va juste mesurer ça.
MEREDITH : On aura bientôt fini, n’est ce pas Dr Bailey ?
(Bailey ne semble pas l'entendre alors qu'elle pose elle aussi pour le photographe.)
(Cristina est au bureau des infirmières. Debbie lui tends une pile de dossiers.)
DEBBIE : Le patient de la 4243 a besoin d’un touché rectal. Ensuite j’ai deux plaies infectées, une sonde urinaire, un abcés de l’aine, quatre débridements et ah... sans oublier un débâcle diarrhéique.
CRISTINA : Vous plaisantez, j’espère ?
DEBBIE : Je ne suis pas connue pour mon humour.
CRISTINA : Pourquoi est ce que vous m'avez bipez ? Aucun n’est mon patient.
DEBBIE :Vous êtes bien l’interne de Bailey, non ? Alors ce sont vos patients. (Un téléphone sonne, Debdie réponds.) Ici Debbie.
(Derek marche dans les escaliers avec les parents de Nicole.)
DEREK : Une portion de l’intestin est utilisée pour élargir la vessie. Et ensuite on fait un passage avec une ouverture dans le nombril. C’est un tout petit trou, il est pratiquement invisible. Elle pourra porter des bikinis et personne ne le saura.
MME VERMA : Pourquoi porterait-elle des bikinis ? Elle ne sait pas nager.
DEREK : Elle pourra aller à la plage. S’allonger au soleil. Rester avec ses amies.
MR VERMA : Vous savez c’est une jeune fille tellement timide maintenant.
DEREK : Oui, bien sur.
MR VERMA (à sa femme): Nicole, pourrait avoir des amies de son âge, Elaine.
MME VERMA (à Derek): Vous avez dit qu’elle devait revenir quand ?
Derek : Apres ses examens. En fait, je pense à son avenir. Nicole pourrait être indépendante. Aller à l’université oû elle voudrait. Elle pourrait avoir un travail. Avoir son appartement. Un petit ami. Se marier.
MME VERMA : Ses examens sont très longs.
MR VERMA : Elle peut passer plus de vingt minutes loin de nous, Elaine.
MME VERMA : Je me renseigne à propos de mon seul enfant.
MR VERMA Elle n’est plus une enfant maintenant.
MME VERMA : C’est mon enfant. Ce sera toujours mon enfant.
(George pousse le fauteuil roulant de Mme Griswold dans un couloir pour l'amener à son scanner. Mr Griswold marche à côté d'eux.)
MME GRISWOLD : Allan !
MR GRISWOLD : Oui ?
MME GRISWOLD :Fais attention où tu marches, tu tapes dans mon fauteuil.
MR GRISWOLD : Je suis désolé.
MME GRISWOLD : Et gardes bien ma mallette.
MR GRISWOLD : Je l'ai.
MME GRISWLOD : Et ne fouille pas dedans.
MR GRISWOLD : Bien sûr.
(George confie Mme Griswold à un médecin pour faire le scan. Il rste à l'extérieur de la salle avec Mr Griswold.)
MR GRISWOLD : S’il te plait et merci n’ont jamais fait partie de son vocabulaire.
GEORGE : Vous êtes un homme très patient.
MR GRISWOLD : Des années de pratique. (Aors qu'il allait remonter le sac de sa femme, la lanière se casse.)
GEORGE : Oh, attendez.
(George lui prends le sac des mains et commence à le réparer.)
MR GRISWOLD : J’essaie de lui faire garder son calme. Vous savez, ils ne croyaient pas qu’elle survivrait à sa première intervention et il y en a eu trois de plus. Voilà, dix ans plus tard, elle est toujours là. Ouais, c’est un miracle qu’elle soit toujours en vie. C’est ce que tout le monde dit.
GEORGE : Vous vous dites quoi ?
MR GRISWOLD : On le dit quand on se marie. Dans la santé ou la maladie, n'est-ce pas ? (George acquiesce et redonne le sac réparer à Mr Groswold.)
(Meredith, Cristina et Izzie sont en train de déjeuner dans la partie extérieur de la caféteria. Meredith lit un magazine. George arrive et s'asseoit à leur table avec sa plateau.)
GEORGE (ennuyé): Vous avez vu un homme enceint et vous le dites pas ?
IZZIE : On peut te garder une place au niveau du bloc pour 50 dollars.
(Cristina éclate de rire.)
MEREDITH (sérieuse): Vous vendez des billets, on ne sait même pas ce quel est son problème.
CRISTINA : Peux importe ce qu’il a en lui, faudra bien que ça sorte. On fait que négocier quelques accords.
IZZIE : Un peu comme des passes pour les coulisses. Tu veux du fric aussi ?
MEREDITH (secouant la tête): Non.
GEORGE : J’avais pas besoin d’un gars enceint ! Le Dr Burke m’accordai sa confiance. (parlant à Cristina) Et c’est terminé à cause de toi. Il savait pas que je savais pour vous deux.
CRISTINA : Arrête de parler.
IZZIE (sourit puit regarde quelque chose): On s’en fout.
(Alex pousse le fauteuil roulant de Nicole et s'asseoit à la table. Tout le monde le regarde interrogativement.)
NICOLE : Salut, je suis le cas social d’Alex.
CRISTINA : Ah, on l’aime déjà.
GEORGE : Tu es volontaire ?
ALEX : La ferme.
IZZIE Pourquoi ? C’est pas comme si on pouvais lire dans ton esprit. Comme si on n'avait pas idée de se qui avait dans ton mini cerveau.
CRISTINA : Elle marque un point. (son bipeur sonne) Mais laisser moi manger !
(Elle se lève et part.)
NICOLE : C’est tellement génial. Un vrai déjeuner. Dans une vrai cafétéria avec des plateaux et des amis.
IZZIE : On n’est pas ses amis.
GEORGE : Y'a pas de cafétéria dans ton école ?
NICOLE : Ce sont mes parents qui me donne les cours.
ALEX : Tout s’explique.
NICOLE : Alors, vous êtes les coqueluches du coin, je me trompe ?
MEREDITH : Qu’est-ce qui te fait croire ça ?
NICOLE : On dirait que tout le monde parle de vous.
(Meredith lève les yeux de son magazine et voit que les autres personnes assises aux autres tables la regardent et la montrent du doigt. Meredith retourne à son magazine.)
(Shawn est en train de passer un scanner, Izzie et Meredith attendent les résultats.)
CT TECH : Les copains et moi ont a parié sur qui allait scanner ce gars et c’est moi qui offre les bières. (Elle sort de sa poche une liasse de billet) Ce soir ensuite on parie sur ce qu'est cette chose.
MEREDITH : Vous prenez des paris.
CT TECH : Sur ce qu’il a dans le bide. Vous voulez parier 10 dollars.
IZZIE : On sait que c’est ni de la graisse, ni des fluides, ni un fœtus alors...
(Elles fixent les images apparues sur l'écran.)
CT TECH : Ca alors.
MEREDITH : Ce sont des dents ?
IZZIE (souriant): Oh, Cristina va être folle furieuse d’avoir manqué ça.
(Cristina arrive devant la chambre d'un patient d'oû Tyler vient de sortir.)
TYLER : On m’a dit de vous biper vous et vous seulement vous si un truc venait à se présenter.
CRISTINA : Qui est ce qui vous a dit ça ? Bailey ? (On entends le patient vomir de l'extérieur de la chambre.) Non.
TYLER : Oh que si. Et tout ce que j’ai à dire c’est que vous avez du faire un sérieux mauvais pas.
CRISTINA : Je hais le vomit.
TYLER (en lui tendant une cuvette): Vous aurez besoin de ça.
(Tyler s'en va. Cristina tourne la tête et croise le regard de Bailey qui lève un sourcil. Elle interprète ce signe comme 'tu le mérites'. On entends le patient vomir à nouveau.)
(Cristina s'approche de Burke, debout devant le tableau des opérations. Ils parlent à voix basse.)
CRISTINA : Bailey est au courant.
BURKE : Au courant de quoi ?
CRISTINA (insistant sur le dernier mot): Elle est au courant.
BURKE : O’Malley est au courant, pourquoi pas Bailey ?
CRISTINA : Tu lui avait rien dit ?
BURKE : Pourquoi j’aurais fait ça ?
CRISTINA : C’est moche.
BURKE : On va devoir réparer nous mêmes les dégâts avant que la situation aille trop loin. Et ça veut dire aller parler de nous au chef.
CRISTINA : Quoi ?
BURKE : Si on se montre au grand jour, tout le monde n’aura plus besoin .7
Christina: Pas question.
Burke: C’est la seule façon.
Christina: Non
Richard: Bonjour
Burke: Bonjour chef
Christina: Tres bien merci Dr Burke.
Burke: Y a pas de quoi, .......Génial le tableau
Kimberly: Peux tu t’assurer qu’ils enlèvent de ma gorge le tube qui m’aide à respirer tout de suite après l’intervention cette fois compris; que faites vous …vous essayer de bloquer ma circulation.
Mari: Il fait seulement son travail.
Kimberly: Qu’est ce que tu as dis
Mari: J’ai dis qu’il faisait seulement son travail.
Kimberly: J’avoue que son travail ne m’intéresse pas du tout, ce qui est sur c’est qu’il m’écrase le bras, tu compte rester sans rien faire
Mari: La ferme Kim, tu as compris...la ferme
George: Eh monsieur
Mari: Tu passé ton temps à te plaindre à moi de moi à coté de moi, toute la journée, tout les jours un peu de silence serai bienvenue quelques malheureuse petites minutes de silence est ce que au moins 1 fois dans ta vie tu voudrais la fermer . (la patiente suffoque)
Burke : Qu’est ce qu’on a
George : Elle a un signe de Leeving, l’ECG montre un suce décalagèse dans les dernières précordiales
Burke : Elle fait une crise cardiaque, on lui fait 4mlg de morphine on passe le nitré à 10 mlg/ minutes, on lui fait ça très vite, pour la montée en chirurgie au plus tôt
Mari: J’ai fais ça , je lui ai fais ça.
Bailey: Regarder tératome mésentérique,; chef
Izzie: Sur un homme adulte
Richard: C’ est possible
Bailey: Ca l’est maintenant grosse lésion vésicale à 2 lobes
Izzie: Dont la structure est calcifiée
Richard: Une mandibule déformée
Bailey: Les résultats des examens montrent un taux élevé de HCG ce qui explique la réaction positive du test de grossesse
Izzie: Ce qui signifie que…
Richard: C’est probablement malin
Meredith: Ca va aller, vous êtes un peu vert, je crois qu’il a besoin d’air chef
Richard: Respirer à fond Mr Hermann
Shane: C’est que je comprend pas ces discours médicaux, ça me dépasse
Izzie: Vous avez ce qu’on appelle un tératome c’est une chose très rare chez un adulte
Meredith: C’est pour ça que vous êtes si populaire, c’est une masse de cellules qui est probablement en vous depuis toujours mais….
Izzie: Elle grossit
Shane: Une machoire qui pousse, des ongles d’orteils, des paquets de cheveux oh oui j’ai bien entendu
Tina: Seulement personne ne nous parlai à nous
Meredith : Ils parlaient de vous, je sais ce qu’on ressent
Christina: Qu’est ce que j’ai manqué
Izzie: C’est du gel rectal que t’as sur ta blouse
Meredith: Dr Bailey toute cette pression toutes ces personnes ça les fait paniquer
Derek: Quand t’as dis qu’on déjeunerai dans un endroit avec vue, je savais que j’aurai du prendre ça au sens littéral
Addison: Je l’ai découvert sûr mon guide de Seattle, ça n’a rien à voir avec un pique nique au sommet l’enpalière state building mais ils ont aussi quelques télescopes
Derek: Tu trouve toujours à te plaindre de quelque chose
Addison: D’accord est ce qu’il y a encore quelque chose que tu aimes en moi parce si c’est le cas j’veux le savoir tout de suite
Derek: Oui j’aime que tu aimes ses petits télescopes dans toutes les villes où tu vis
Adisson: Je ne vis pas encore ici…tu vas arrêter de parler à Meredith
Derek: Je le ferai
Addison: Quand aujourd’hui, demain la semaine prochaine
Derek: Je ne suis peut être encore prêt
Addison: Et est ce que tu sera prêt un jour, Derek
Derek: Et si je disais non
Addison: Alors je ne m’installerai pas ici
Derek: Alors je crois que nous sommes dans une impasse
Burke: Dr Yang on a pas fini notre conversation
Christina: Si on la fini on a décide de ne rien dire à qui on sait à propos de nous
Burke: Oh on a décide, tu t’inquiète pour ta carrière et ta réputation elles seront bien plus en danger si l’entends parler de nous
Christina: Il n’a pas a entendre parler de nous du tout
Burke: Oui, mais il le saura c’est une question de temps à moins que tu n’hésite pour je ne sais pour quelle autre raison
Christina: Tu n’as pas réfléchi
Burke: Comme refuser d’admettre l’existence de notre relation.
Christina: On est un couple
Burke: Parfait
Christina: Burke
Burke: J’ai dis parfait
Alex: Dites moi pourquoi vous voulez pas de cette opération
Nicole: Je suis bien comme ça
Alex: C’est bien, c’est votre choix.
Nicole : Alors vous n’allez pas tout tenter pour me convaincre
Alex : Pour l’instant je vais étudier
Nicole : Truc nucléaire avec un nom bizarologique, ça explique votre retard, vous étudiez
Alex : Non
Nicole : Cette fille Izzie c’est votre petite amie
Alex : Non
Nicole : Vous voulez qu’elle devienne votre petite amie
Alex : Je suis coincée avec vous parce que j’étais en retard pour la visite alors excusez moi j’suis occupé
Nicole : J’ai 18 ans vous savez
Alex : Quoi
Nicole : Je ne suis plus une enfant, j’ai 18 ans et je n’ai pas à rester avec vous je pourrais très bien rejoindre ma chambre
Alex : Allez-si
Nicole : Izzie à raison vous êtes nul
Alex: Je suis nul, bon d’accord je suis nul mais j’suis beau gosse pour un nul
Nicole: Et pourquoi vous ne l’avez pas embrassée ?
Alex: Je croyais que vous partiez
Nicole : Si j’avais eu la chance d’embrasser la personne que j’aime j’aurais pas eu honte
Alex : Si j’avais la chance de me débarraser de la poche d’urine accroché à ma cheville j’aurai pas eu honte non plus et je laisserais pas ma mère prendre les décisions à ma place
Nicole : Je ne vous aime pas
Alex : Menteuse
Nicole : Crétin
Alex : Moulin à paroles
Nicole : Baby-sitter
Alex : 2 roues
Nicole :Vous êtes politiquement incorrect
Burke : Bon on dirai que Mme Griswold ce débrouille bien épongé, aspiration
(Les internes sont dans la galerie pour l’opération de George et Burke avec d’autres internes)
Interne 1 : La pauvre fille oh regarde le voilà (Les filles regardent Derek arrivé)
Christina : Regardez ça un cœur qui bat en partie interne et parfaitement expos c’est vraiment magnifique
Burke : Alerte rouge
Izzie : Je crois qu’il vient de prendre feu
George : Son cœur est en feu
Burke : On doit sauver Mme Griswold démarrer le protocole
George : Je m’en charge
Burke : Alerte rouge démarrez le protocole surchauffe dépêchez vous O’Malley débranche les électrodes
George : Ca y est
Burke : Ecoutez moi que toutes personnes dont la présence n’est pas indispensable évacuent cette salle , on ferme l’O2
George : C’est fait
Burke : Bon on la balonne
George : D’accord, j’ai l’embu, je commence à la ballonner
Burke :Je crois contrôler son saignement, les constances sont stabilisées on a eu beaucoup de chance.
Les filles sont dans les escaliers
Meredith : Elle était en feu
Izzie : J’avais jamais vu un truc aussi dingue mais qu’est ce que c’était ?
Christina : C’était un accident très rare
Meredith: C’est vrai elle était en feu
Christina: Oui, tu as déjà dis ça
Meredith: Je sais mais elle était en feu
Izzie: George, ça va ?
George: Elle était en feu
Christina: Eh ça a du être violent est ce que ça va ?
Burke: J’vais bien O’Malley on y va
Christina: C’est vrai, j’en ai ras le bol
Bailey : Vous le renvoyez à domicile et j’ai entendu dire qu’1 cœur avait pris feu
Christina: Je suis la meilleure interne que vous ayez et vous gâchez mes talents sur des patients qui vomissent et qui ont des abcès j’ai compris je l’ai même mérité mais s’il vous plait ne m’excluez pas de cette opération Dr j’ai droit à cette intervention , j’ai volé cette intervention
Bailey: De quoi est ce que vous parler Dr Yang
Christina: Vous m’avez puni…..vous ne savez pas de quoi je parle alors qui à bien pu me biper toute la journée, les infirmières ont été sur mon dos sans arrêt
Debbie: Un petit peu de respect et vous auriez pu vous épargniez une très longue journée Dr Yang ; allô ici Debbie
Bailey: Vous méprisez les infirmières c’est stupide
Christina: Je peux encore assister à l’opération
Addison: Il veut que je vienne m’installer ici Richard que je prenne tout ce que j’ai et que je vienne ici
Richard: Ne rester pas pour lui Addison pour moi, rester pour vous
Addison: Richard
Richard: Ici à Seattle vous aller pouvoir devenir célèbre avec votre réputation et l’argent que je mettrais à vous promouvoir le Seattle Grâce va devenir l’un de hôpitaux l’un des plus répute en néonatalité de tout l’ouest de Manhattan
Addison: Vous êtes sérieux
Richard:Je suis prêt à mettre énormément d’argent dans l’aventure
(Derek veut s’approcher de Meredith mais Bailey l’en n’empêche)
Bailey : Demi-tour éloignez vous
Derek : De quoi
Bailey : De mon interne
Derek: Pourquoi je…
Bailey: Oh si si vous alliez je vous en prie ne faites pas ça , vous n’avez pas le droit c’est terminer
Derek: Je veux simplement voir si elle va bien
Bailey: Non elle ne va pas bien, elle est comme une accidentée de la route tout le monde ralenti pour voir l’ampleur des dégâts mais elle fait du mieux qu’elle peut avec ce qui lui reste, je sais que vous êtes concerné mais c’est trop tard pour l’aider vous ne pouvez qu’aggraver les choses allez vous en laissez la se rétablir …..allez
Nicole: C’est pas que je ne veux pas de cette opération, j’en ai envie vous savez je veux toutes ces choses mais si j’étais pas prête
Alex: Prête pour quoi ?
Nicole: Pour toutes ces choses, pour prendre soin de moi, pour être indépendante, pour le sexe, l’amour, j’ai jamais eu de petit ami on ne m’a pas embrasser encore, je suis la plus vieille étudiante de 1ère année sur cette planète à avoir embrasser personne
Alex :Non
Nicole: C’est mortifiant
Alex: Y a des ratés plus vieux que vous, croyez moi
NICOLE : Alex. Vous voulez bien m'embrasser ?
ALEX (riant): Quoi ?
NICOLE : Je sais que vous êtes médecin et moi une patiente, et que c'est
contre les règles. Je le dirais à personne.
(Alex regarde des deux côtés du couloir pour vérifier qu'il n'y a personne. Il se
penche alors que Nicole ferme les yeux d'anticipation.)
ALEX : Pour qu'un baiser soit bon, il faut qu'il signifie quelque chose. Il faut
qu'il vienne de quelqu'un qu'on ne peut pas se sortir de la tête. Et de cette
façon, au moment oû les lèvres se touchent, on le ressent partout. Un baiser
si torride et si fort qu'on voudrait jamais reprendre sa respiration. On ne doit
pas rater son premier baiser, Nicole. Croyez-moi, vous le regretteriez. Parce
que quand vous trouverez la bonne personne, ce premier baiser... ce sera
tout.
Burke :Son cœur à pris feu, bien sur il y aura une enquête mais vous devez savoir que ce n’est pas aussi rare qu’on pourrais le croire ; votre femme va aller bien, nous avons achevé l’opération et je suis persuadé qu’elle se remettra complètement.
(Le Mari gémit)
George : Mr Griswold
Mari : (il rigole) c’est tout c’est ça son Cœur à pris feu, au milieu de sa 5ème opération à Cœur ouvert et elle à survécue ah, ah elle est une espèce de montre mythique, jamais elle ne mourra, c’est clair
Burke : Mr Griswold, je sais que le choc émotionnel est très fort pour vous si vous souhaitez attendre
Mari : Quoi, non, non j’ai pas l’intention d’attendre pas une seule seconde’ tenez…..vous lui direz dites lui dites lui qu’elle survivra sans moi ah, ah
Christina : On peut en mettre 2 de plus dans la galerie
Shane : Enlevez vos mains de mon ventre
Meredith : Qu’est ce qui se passé la dedans, tout le monde dehors
Le psy: On a déjà
Meredith: Dehors Mr Hermann est un patient, un patient chirurgical, qui est malade fatigue et embarrassé d’être regarder comme une bête curieuse, vous 2 s’est un pas un zoo dehors, dehors si vous avez envie de me pointé du doigt de chuchoter et de m’observer ne vous en priver surtout pas regarder Meredith elle est triste et pathétique elle à le cœur brisé peut-être qu’elle a pété les plombs oui peut-être que c’est vrai mais laisser Mr Hermann tranquille , votre attitude est minable vous devriez avoir honte.
(Meredith sort de la chambre et s’adresse à Derek) et toi là qu’est ce que tu regarde.
George : Est ce que vous le dites à sa femme ou je le fais
Burke : (rigole) je veux te remercier de m’avoir si bien soutenu en chirurgie O’ Malley la situation était plutôt survolté au bloc et tu as été à la hauteur .
George :Merci Dr Burke
Burke : De rien
George : Eh je suis désolé pour tout à l’heure s’était maladroit de vous parler de vous et de Christina, c’est vraiment euh enfin
Burke :Tu est toujours mon homme O’ Malley, tu est toujours mon homme.
Shane : J’ai toujours cru que je tiendrai la main en salle de travail
Meredith: Je viendrai vous voir quand l’intervention sera fini, d’accord
Tina: D’accord, je vais rester, là allez
Shane: Dr Grey laissez les pas l’exhiber d’accord le mettre dans un bocal ou le faire circuler vous comprenez
Meredith: Votre tératome
Shane: Ouais ça me ferai tout drôle que mes entrailles soit exposer comme ça vous promettez
Meredith: C’est promit
“Enfin de compte il y a certaines choses qu’on ne peut pas s’empêcher de discuter”
Bailey : Tu veux vraiment être celle qui va se débarrasser de ça Grey
Meredith : J’ai fais une promesse
Christina : Je suis très inquiète pour ma carrière, je suis très inquiète pour ma réputation, je ne serai pas Meredith Grey je me suis bouger pour être ici et personne ne va me faire des fleurs
Burke: Ca n’a rien a voir avec te faire des fleurs et ça tu le sais
Christina: Tout le monde le saura
Burke: C’est ce que je veux
Christina: Je ne veux pas le dire au chef, d’accord, c’est clair, je refuse
« Les choses que l’on ne veut pas entendre et des choses que l’on dit parce qu’on ne peut plus garder le silence »
Nicole : Je veux cette opération
Mère : Elle n’a pas réfléchi à la situatiion
Père : Elle a réfléchi
Nicole : Je veux cette opération, tout les 2vous parlez vous parlez mais vous vous rendez-compte que vous ne m’avez jamais demandeé mon avis, j’en suisen partie responsable je vous ai laisser faire mais maintenant je ne veux plus tricher je ne veux pas continuer à me taire et vous laiser tout contrôler parce que je suis prete à regler les choses moi-même.
« Et les choses qui vont plus loin que nos paroles ce sont nos actes »
Richard : J’apprécie votre franchise Preston
Burke : Je suis prêt au même discours que Shepherd je ne veux de régime de faveur
Richard : Et vous n’en aurez pas , vous n’êtes pas marié, vous ne cacher rien, vous êtes venu me parler, vous tenez à votre liaison à ce que vous vivez ensemble, je comprend ça Preston et c’est important.
« Il y a des choses qu’on ne dit pas parce ce qu’on a pas le choix »
Addison : (chez le conseiller) j’ai beaucoup réfléchi à la situation et j’ai décider de m’installer à Seattle
Derek : Et Meredith ne sera plus un problème, elle est sortie de ma vie, c’est une affaire régler
Le conseiller : Je dois reconnaître que vous avez fait de remarquable progrès je vous facilité tout les 2, vous avez fait une avancée exceptionnelle
Addison : C’est de ça que le mariage est fait et de compromis, non
Derek : Oui c’est fait pour prendre et donner.
« Et des choses que l’on garde pour soi »
Joe : Elle vous a engueulé
Izzie : Ouais, mais on l’avait mérité cette fois on a vendu pour 425 dollars de billets pour l’intervention
Christina : Ouais
Izzie : T’en a vendu plus
Christina: O h ouais
Izzie: Elle est incroyable
Meredith: Salut Joe
Joe: Salut
Meredith: Vous n’avez pas d’autres sujets de conversation que mon histoire
Izzie & Christina & George : Non
« Et assez rarement mais de temps à autre »
Izzie : Quoi….quoi (à Alex arrivant dans le bar)
« Les choses parlent d’elles-mêmes »
Alex embrassa Izzie
Alex : Bonne nuit
Izzie : Ouh
Christina : Ouah
Izzie : Ca alors
« Ils rigolent tous »
(fait par Marie82)